Son mari étant en voyage à l’étranger, une dame emmène son petit garçon en voiture, à l’école. Juste avant d’arriver, le gamin s’étonne : – Où sont donc tous ces chauffards, ces bandits, ces écraseurs ? – Cela va te sembler curieux, répond la mère, mais ils ne sortent que lorsque ton père est au volant.
Deux potes discutent : – Alors, qu’est-ce que ton père t’a dit après avoir appris que tu as démoli sa voiture ? – Sans compter les jurons ? – Oui. – Pas un mot !
C’est Toto et son frère Dédé qui sont assis sur le trottoir en train de glander.
Dans leur discussion informelle, ils en viennent à se demander pourquoi les grands ont tellement de plaisir à dire des jurons. Alors, pour en savoir plus, ils décident que le lendemain, Toto dira le mot « putain » alors que Dédé dira le mot « baiser ».
Le lendemain matin, le Papa de Dédé et Toto les appelle pour le petit-déjeuner. – Toto, qu’est-ce que tu veux comme petit-déj.? – Je voudrais ces putains de Choco Pops papa ! Evidemment, ça ne loupe pas, Toto se prend une bonne vieille claque derrière la tête.
Puis le père se tourne vers Dédé : – Et toi Dédé qu’est-ce que tu veux ? – Eh ben moi je prendrai pas les Choco Pops, j’ai pas envie de me faire baiser comme Toto !
Une bonne sœur est en train de pêcher. Soudain elle attrape un énorme poisson, avec une drôle d’apparence… Un pêcheur non loin de là lui dit : – Oh ! Quel bordel de dieu de poisson vous avez là ma sœur ! – Monsieur je vous prie de rester poli ! répond la bonne sœur. – Je suis désolé ma sœur, mais c’est le nom de cette espèce : « un bordel de dieu de poisson ». – Ah, très bien… répond la sœur.
Elle rentre à la paroisse et croise la mère supérieure : – Ma mère, regardez ce bordel de dieu de poisson que j’ai attrapée ! – Ma sœur ! ne jurez pas je vous en prie ! – Excusez moi ma mère, mais c’est le nom de cette espèce : « un bordel de dieu de poisson ». – Ok, donnez moi ça je vais le vider.
En partant à la cuisine, elle croise l’évêque et lui dit : – Mon père regardez ce bordel de dieu de poisson que la sœur a attrapé ! – Hé ! Vous ne devriez pas parler comme ça ! – Mais non mon père, c’est le nom de cette espèce : « un bordel de dieu de poisson ». – Donnez moi ce poisson, je vais le cuisiner !
Le soir à la cantine, un tout nouveau curé partage le repas ; il s’écrie : – Oh ! Que ce poisson est bon !
La sœur répond immédiatement : – C’est moi qui ai pêché ce bordel de dieu de poisson ! – C’est moi qui ai vidé ce bordel de dieu de poisson ! continue la mère supérieure. – Et c’est moi qui ai cuisiné ce bordel de dieu de poisson ! termine l’évêque avec fierté.
Le curé, étonné et un peu choqué, s’exclame alors : – OH DIS DONC ! J’AIME DÉJÀ CETTE PUTAIN DE PAROISSE DE MERDE !