blague juif

Le Catholique, le Juif et le Témoin de Jéhovah qui meurent

Un Catholique, un Juif et un Témoin de Jéhovah meurent en même temps et arrivent devant Saint Pierre.

Le catholique demande à entrer au Paradis, mais Saint Pierre lui répond :
« Non, désolé. »

Le catholique lui demande alors :
« Pourquoi Saint Pierre ? J’ai été bon pendant toute ma vie… »

Saint Pierre lui répond :
« Peut-être, mais tu as mangé de la viande rouge un vendredi pendant le Carême, alors je ne peux pas te laisser rentrer tout de suite. »

Le juif se présente à son tour devant Saint Pierre, et Saint Pierre ne l’accepte pas lui non plus. Il lui explique :
« Il y a eu une fois où tu as mangé du porc… Toi non plus tu ne peux pas entrer au Paradis directement. »

Puis c’est le tour du Témoin de Jéhovah. Là encore Saint Pierre lui répond :
« Non ».

« Pourquoi non ? » demande le témoin, « Qu’ai-je fait de mal ? »

Saint Pierre lui répond :
« Ah ! Une fois tu as mangé ton entrée avec des couverts à salade. »

Le stock de pantalons à moitié prix

Samuel rencontre son vieil ami Simon :
– J’ai une affaire extraordinaire à te proposer, Simon. Un stock de pantalons du dernier cri à moitié prix !

Simon est évidemment intéressé et achète le lot. Malheureusement, en ouvrant les colis il découvre que les pantalons n’ont qu’une jambe…
– Qu’est-ce que tu m’as vendu, escroc ! dit-il furieux. Ces pantalons sont inutilisables !
– Je sais bien Simon, répond Samuel. Mais tu te rends compte, moitié prix !
– Oui… Evidemment…

Le lendemain, Samuel appelle son vieil ami Jacob :
– J’ai une affaire extraordinaire à te proposer, Jacob. Un stock de pantalons du dernier cri à moitié prix !
Jacob achète, découvre le défaut, râle pendant quelques heures et appelle dès le lendemain son vieil ami Nathanaël…

Le stock de pantalons à une jambe tourne ainsi durant quelques années, jusqu’à qu’un acheteur ait l’idée de vendre les pantalons à son vieil ami Martin :
– Mais qu’est-ce que c’est que cette saloperie ! crie Martin en découvrant le stock. Ces pantalons sont invendables !
– Tu veux rire ?!? répond son ami. Ça fait des années qu’ils font vivre tout le quartier !

Le mendiant aveugle et la paluchade

C’est un aveugle qui fait la manche au coin d’une rue. Il tend sa gamelle dès qu’il entend un bruit de pas qui s’approchent, en faisant tinter les quelques pièces qu’il y a au fond.

A ce moment, il sent une main qui lui caresse l’entrejambe.
« Nom de Dieu ! » se dit l’aveugle.

Il tourne en cherchant des mains qui est l’auteur de cette paluchade.
« La salope » pense-t-il, il pose sa gamelle et cherche comme quand on joue à cache-cache, les bras tendus dans le vide.
« Si je l’attrape, ce que je vais lui mettre » et il fouille l’air rouge écarlate.

Au même moment, de l’autre côté de la rue, deux juifs discutent :
« Tu vois Jacob, qu’on peut faire la charité sans débourser un centime ! »