blague jugement

La blague du rapport sur l’employé

Monsieur le Chef du personnel,

Voici le rapport que vous m’avez demandé sur M. Dupont.
Je vous serais reconnaissant d’en accuser réception.
Il faut signaler que M. Dupont est toujours en train de
travailler dans l’intérêt de la compagnie sans jamais
passer son temps au téléphone pour des motifs personnels.

Quelque soit le jour de l’année, il se présente toujours en
avance et n’a jamais chercher une excuse pour arriver en
retard. Autre remarque importante, jamais M. Dupont ne
refuse son assistance à ses collègues et, toujours, il
finit son travail dans les délais.

Tous les jours, il consacre plusieurs heures à des
réflexions sur nos stratégies commerciales, évitant les
pauses cafés injustifiées. Il montre une grande habileté à
rédiger des mémos de qualité, ce qui l’empêche souvent de
quitter son poste. Je vous recommande ainsi qu’il soit
considéré comme un exemple, l’opposé de son prédécesseur
licencié à l’automne. M. Dupont est le type-même de l’employé
modèle ; depuis trois mois, il a su se rendre vraiment in-
dispensable.

Veuillez agréer l’expression de mes meilleurs sentiments.

Second rapport (2 heures après)

Monsieur le Chef du personnel,

Monsieur Dupont regardant par dessus mon épaule pendant la rédaction de mon rapport précédent, je vous recommande de le relire, mais en sautant une ligne sur deux.

La blague du jugement de Salomon

Deux femmes viennent demander son arbitrage au Grand Roi Salomon, réputé pour sa sagesse. Entre les deux femmes se tient un jeune homme en costume trois pièces.
– Ce jeune avocat est prêt à épouser ma fille, dit la première.
– Non ! Il est d’accord pour épouser MA fille ! Dit la seconde.

Et les deux femmes continuent à se chamailler devant le roi jusqu’à ce qu’il leur intime l’ordre de se taire.
– Apportez-moi ma grande épée de justice, dit Salomon, et je couperai le jeune avocat en deux. De cette manière, chacune d’entre vous recevra la moitié.
– Ça me semble être équitable, dit la première femme.

Mais l’autre femme répond :
– Oh Sire, ne versez pas le sang d’un innocent. Laissez la fille de l’autre femme épouser ce jeune homme.

Alors Salomon le sage n’hésita pas un seul moment :
– L’avocat doit épouser la fille de la première femme, proclame-t-il.

A l’énoncé de ce verdict, un brouhaha parcourt la cour du roi :
– Mais, sire, cette femme était prête à ce que vous coupiez le jeune homme en deux ! S’exclame une femme dans l’assemblée.
– Eh oui, répond Salomon, c’est bien la preuve que c’est elle la VRAIE belle-mère.