La SNCF, qui a perdu plein de sous pendant les grèves, trouve le moyen d’offrir une prime de 1500€ aux non-grévistes (on ne peut plus dire « jaunes » car c’est devenu une couleur révolutionnaire). Judas est écœuré ! Judas : « Quand je pense que pour trahir un Dieu je n’ai touché que trente deniers. » (Caricature Judas – Dessin du 2 février 2020)
Une femme demande l’intervention d’une patrouille. Son mari est absent et un individu qui masque le judas pour ne pas être vu tente d’ouvrir la porte d’entrée de son appartement. Arrivés sur les lieux, les gendarmes découvrent un chat qui saute sur la clenche. Minou voulait simplement regagner ses pénates.
Jésus, dans un état d’énervement avancé, convoque tous ses disciples et apôtres pour une réunion d’urgence concernant la trop forte consommation de drogue sur terre. Après avoir mûrement réfléchi, ils arrivent à la conclusion que pour régler le problème, ils doivent d’abord goûter les drogues eux-mêmes et ensuite décider de la façon de régler le problème. Il fut donc décidé qu’une commission formée d’apôtres retourne sur terre afin de collecter les différentes drogues.
L’opération secrète se déroule donc, et deux jours après les apôtres mandatés commencent à revenir au paradis. Jésus attend à la porte et demande au premier : – Qui est là ? – C’est Paul !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Paul ? – Haschisch du Maroc. – Très bien mon fils, entre.
– Qui est là ? – C’est Marc !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Marc ? – Marijuana de Colombie. – Très bien mon fils, entre.
– Qui est là ? – C’est Mathieu !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Mathieu ? – Cocaïne de Bolivie. – Très bien mon fils, entre.
– Qui est là ? – C’est Jean !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Jean ? – Crack de New York. – Très bien mon fils, entre.
– Qui est là ? – C’est Luc !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Luc ? – Speed d’Amsterdam. – Très bien mon fils, entre.
– Qui est là ? – C’est Judas !
Jésus ouvre la porte. – Qu’as-tu ramené Judas ? – Le FBI, bande d’enculés, tous contre le mur, les mains sur la tête !