blague Jeanne d’Arc

L’histoire c’est ma drogue

Dans un petit village sur les hauts plateaux de Colombie, une jeune institutrice fait un cours d’Histoire de France :
– Savez-vous qui était Jeanne d’Arc ?
– Oui, mademoiselle, répond une petite fille, Jeanne d’Arc, c’était 45 kg d’héroïne pure…

Teasing…

Un professeur a trouvé un moyen d’intéresser ses élèves à son cours. Il procède comme ceci :
« L’évêque Cauchon fera-t-il tomber une innocente dans un horrible piège ? Les Anglais réussiront-ils à sortir vainqueur de l’épreuve qui les oppose à notre équipe sur notre terrain ? Jeanne d’Arc sera-t-elle brûlée vive le 30 mai 1431, place du Vieux marché à Rouen ? Vous le saurez mardi prochain, en assistant à 15 heures à mon cours d’Histoire. »

La passion de Gilles de Rais

Les perles : la justice

Gilles de Rais (1404-1440), maréchal de France, compagnon de Jeanne d’Arc, mais prince de l’horreur, voue une même passion au crime et à la débauche, sur fond de magie noire. Il crée une « Fondation des Saints Innocents », mais quotidiennement dans les tours sombres de ses châteaux de Champtocé, de Machecoul et de Tiffauges, avec quelques-uns de ses complices avertis, il pratique son sport préféré qu’il résume ainsi joliment, lors de son procès : « … couper la tête des jeunes enfants… séparer la tête… enlever les membres… les fendre pour en voir les entrailles… les attacher à un croc de fer pour les étrangler… » Gentil garçon.

Les voix d’Orléans

Jeanne d’Arc, à cheval, mène ses troupes à l’assaut d’Orléans quand elle aperçoit un de ses archers qui détale à toutes jambes. Elle se précipite à sa poursuite et, l’ayant rattrapé, l’interroge :
– Où cours-tu, ainsi ?
– Eh bien, explique le déserteur, j’ai entendu des voix qui me disaient : « Abandonne donc cette guerre stupide et retourne garder tes moutons. »