blague Jean-Marie Le Pen
La blague du supplice de Le Pen
Le Pen vient de mourir. Naturellement, Saint Pierre l’envoie directement en Enfer où il est accueilli par Lucifer qui lui fait visiter les lieux.
Ils passent ainsi par les mines de soufre et de phosphore dans lesquelles travaillent la plupart des damnés, puis le démon le fait entrer dans une salle dans laquelle un gars est en train de se faire tailler une pipe par une superbe jeune femme.
Le Pen s’arrête et dit à Lucifer :
– C’est ça que je veux comme supplice, Grand Satan.
Alors le Diable le regarde en souriant et lui dit « D’accord ».
Puis d’un coup de fourche, il fait partir la jeune femme et il ajoute :
– Allez, à toi maintenant Jean-Marie. A genoux !
La bonne action de Jean-Marie Le Pen
Jean-Marie revient d’un meeting électoral dans le Nord, et voit sur le bord de la route un arabe qui vient d’avoir un accident, il est ensanglanté et sur le point de mourir.
Comme il est dans un jour de bonté, Jean-Marie ouvre la portière arrière, met l’accidenté sur la banquette arrière et se met à faire du 180 pour arriver le plus vite possible à l’hôpital.
En chemin, des gendarmes en moto le prennent en chasse pour vitesse un peu excessive. Jean-Marie, soucieux des lois, s’arrête devant le gendarme. En se dirigeant vers Jean-Marie, il jette un coup d’oeil sur la banquette arrière, et dit :
« Alors Jean-Marie, on braconne ? »