Une femme extrêmement jalouse accueille son mari, de retour du bureau.
– Qu’est-ce que c’est que ce cheveu blond, sur ton épaule ! hurle-t-elle.
– Oh, ce devait être une femme dans le métro, répond placidement le mari. Il y avait beaucoup de monde…
– Ce ne serait pas plutôt ta secrétaire ?
– Ça, ça ne risque pas ! répond le mari. Tout d’abord elle est brune, et ensuite, chaque fois que je me la saute, je retire toujours ma veste pour ne pas la froisser !
Une dame jalouse avait essayé d’empoisonner son mari à l’arsenic, mais celui-ci très résistant de nature, avait réussi à s’en sortir. La dame passe en justice et le président l’interroge, avant que le jury ne se rassemble pour délibérer :
– Avez-vous quelque chose à ajouter, madame ?
– Oui, affirme-t-elle, je réclame une autopsie !
Les perles : la justice
Le jaloux est un client habituel des tribunaux. Il blesse, il tue à intervalles réguliers. On est même parfois jalouse et criminelle de mère en fille. Triste chromosome du crime. Comme disait un président à l’une de ces indécrottables jalouses : « Vous exercez sur votre époux, madame, une véritable surveillance policière. Pour vous, le mariage, c’est la communauté réduite aux aguets ! »
