blague italiens
Les boulettes du clitoris
C’est dimanche dans la pizzeria O Sole Mio. Tony, le serveur, ouvre la porte à toute la famille Rossi (des habitués).
Le premier enfant entre :
– Mama mia Enzo, mais qu’est-ce que tu peux bien manger pour être gros comme ça ? Demande le serveur. Allez, dis-moi combien tu pèses ?
Enzo lui répond :
– Je pèse 120 kilos et je mange des spaghettis avec des grosses boulettes !
Tony le serveur dit alors :
– Mais tu prends de bien trop grosses bouchées mon enfant !
Le deuxième enfant entre dans le restaurant :
– Mama mia Vincenzo, mais qu’est-ce que tu peux bien manger pour être gros comme ça ? Demande le serveur. Allez, dis-moi combien tu pèses ?
Vincenzo répond :
– Je pèse 100 kilos et je mange des spaghettis avec des grosses boulettes !
Tony le serveur dit alors :
– Mais tu prends de bien trop grosses bouchées mon enfant !
Le dernier enfant, tout maigrichon, entre dans le restaurant.
– Mama mia Andrea, mais qu’est-ce que tu es maigre !!! Qu’est-ce que tu peux bien manger pour être maigre comme ça ? Demande le serveur. Allez, dis-moi combien tu pèses ?
Andréa répond alors :
– Je pèse 60 kilos et mon plat favori, c’est le clitoris !
Tony le serveur, peu au fait des spécialités étrangères lui répond :
– Du clitoris ? Encore une de ces spécialités étrangères ça, c’est de la merde !
Et Andréa :
– Ah, lui répond Andréa, si le clitoris a un goût de merde, c’est que tu prends de bien trop grosses bouchées Tony !
Les Italiens et l’ampoule
Combien d’italiens ça prend pour changer une ampoule électrique ?
Alors, mon cousin Vinny connaît un gars qui a un frère dont le père de la petite amie a fait son service militaire avec un certain Ricardo dont le beau-frère avait été à l’école avec un gars dont la mère possédait une usine de chaussures. Dans cette usine, un des ouvriers sortait avec une fille dont le père allait tous les dimanches à la messe avec un certain Guido qui connaissait un gars dont la soeur était mariée à un électricien qui a dit qu’il le ferait pour rien.
La blague du gros calibre
Maria est une jeune italienne issue d’une famille où la tradition DOIT être respectée. Du coup, le jour où elle se marie avec Tony, elle est encore vierge. En fait, elle ne sait même pas comment est fait un garçon.
La nuit de noces doit avoir lieu dans la chambre préparée dans la maison de la maman de la mariée. Maria, le soir venu, confie à sa mère qu’elle a un peu peur de ce qui va advenir. Mais mama la rassure en lui disant :
– Ne t’en fais pas Maria, Tony est un bon garçon. Monte dans la chambre et ai confiance car il prendra soin de toi.
Alors Maria monte dans la chambre nuptiale. Dans la chambre, Tony est en train d’enlever sa chemise et expose ainsi sa poitrine velue à sa femme. Maria descend en courant demander à sa mère :
– Maman, maman, Tony a plein de poils sur la poitrine, on dirait un singe !
– Ne t’en fais pas Maria, tous les bons garçons ont du poil sur la poitrine. Il n’y a que les petits minets qui sont imberbes. Monte rejoindre ton mari maintenant, il va s’occuper de toi.
Alors Maria remonte dans la chambre nuptiale. Et Tony enlève son pantalon. Maria a peur quand elle constate que son mari a plein de poils sur les jambes. Et ça ne rate pas, la voilà qui descend l’escalier pour demander à sa mère :
– Maman, maman, Tony a plein de poils sur les jambes, c’est dégoûtant !
– Ne t’en fais pas Maria, tous les bons garçons ont du poil sur les jambes. Tu dois être fier d’avoir un mari si poilu !. Monte rejoindre ton mari maintenant, il va s’occuper de toi.
Et Maria remonte dans la chambre pour la troisième fois. Là, elle voit Tony qui sort un 351 Magnum de son étui et qui le pose sur la table de nuit. Maria, toujours aussi affolée descend les escaliers 4 à 4, et elle bafouille à sa mère :
– Maman, maman, Tony a gros calibre ! un … un … un machin de 30 centimètres au moins !
– Reste ici ma fille ! Maman va s’occuper de ça alors.