– Ce qu’il nous faut, pour ce magasin, dit le chef du personnel au candidat à une place d’inspecteur, c’est quelqu’un avec un œil d’aigle et un cœur de pierre, quelqu’un sans pitié, qui soupçonne tout un chacun, et qui fasse son travail sans se laisser attendrir un instant. Enfin, si vous avez cela dans vos relations…
– Je l’ai bien, fait l’homme, mais si ma belle-mère travaille, qui est-ce qui restera à la maison pour garder les gosses ?
Un inspecteur de police rentre chez lui et trouve sa femme au lit avec le voisin.
L’inspecteur attrape le voisin par les cheveux, l’extirpe du lit, l’emmène contre le mur. Il lui fait jambes écarter les jambes et plaquer les paumes des mains sur le mur. Ensuite il sort son pistolet de service, lui plaque le canon sur les couilles et dit :
« Je vais te pulvériser les couilles espèce de bâtard ! »
L’autre lui répond en implorant :
« Allez, comme ça ce n’est vraiment pas sport ! Il faut me donner une chance quand même ! »
Et l’inspecteur accepte :
« D’accord : balance les de gauche à droite… »
Le commissaire divisionnaire tente de freiner l’ardeur de ses inspecteurs qui l’ont accompagné dans une boîte de nuit dont les dix strip-teaseuses ont été violées par une bande de petits voyous.
– Il faut vous répartir le boulot, leur dit-il. Comprenez que vous ne pouvez pas tous vous occuper uniquement de reconstituer le crime.
L’inspecteur des contributions directes dit à ses collaboratrices :
– Mesdames, mesdemoiselles, je vais vous demander, comme chaque matin, de bien vouloir vous boucher les oreilles pendant une dizaine de minutes : le temps que j’écoute les messages que nous ont adressés, au cours de la nuit, quelques contribuables sur le répondeur de service.
