Un type à la richesse bien visible de l’extérieur (collier en or, santiags en croco, bagouzes en or à tous les doigts) se trouve convoqué dans le bureau de son inspecteur des impôts.
L’inspecteur :
– Bon, en 2012 vous avez déclaré 10 millions d’euros de revenus, exact ?
Le gars :
– Exact.
L’inspecteur :
– Et tout ça sans travailler ?
Le gars :
– Manquerait plus que ça…
L’inspecteur :
– Comprenez alors cher Monsieur que l’administration fiscale soit extrêmement curieuse de la provenance de ces revenus…
Le gars :
– C’est simple : Je gagne ma vie en pariant. Je parie gros, et je perds rarement…
L’inspecteur :
– C’est un peu gros ça… Et sur quoi pariez-vous ?
Le gars :
– Je parie sur tout et n’importe quoi, des grosses sommes d’argent… Par exemple, je suis prêt à parier avec vous 5 briques, que vous avez les couilles carrées !
L’inspecteur :
– Quoi ? Cinq briques sur mes couilles carrées ? Vous n’êtes pas sérieux ?
Le gars :
– Vous avez bien entendu, cinq briques !
L’inspecteur :
– Eh ben, c’est pas le genre de la maison, mais… Pari tenu !
Le gars :
– D’accord, alors donnons-nous rendez-vous demain chez le notaire pour un contrat en bonne et due forme.
Le lendemain, ils se retrouvent tous les deux chez le notaire. Le notaire demande donc à l’inspecteur des impôts si il peut descendre son pantalon et son caleçon. L’inspecteur sûr de lui ne se fait pas prier, même lorsque le notaire prend sa paire de couilles en main pour s’assurer de leur rotondité !
C’est alors que le notaire attrape une bonne suée et s’écrie :
– Nom de Dieu, Nom de Dieu !
L’inspecteur :
– Ben quoi, elles sont rondes, non ?
Le notaire :
– Euh oui, oui, elles sont rondes.
L’inspecteur :
– Alors, il semblerait que le Monsieur qui ne perd jamais ait eu un petit problème, et qu’il me doive maintenant cinq briques…
Le gars :
– J’ai rien perdu du tout… Hier soir, j’ai parié 30 briques avec le notaire que son inspecteur des impôts se laisserait tâter les couilles…