blague injures
La blague de Toto et des jurons
C’est Toto et son frère Dédé qui sont assis sur le trottoir en train de glander.
Dans leur discussion informelle, ils en viennent à se demander pourquoi les grands ont tellement de plaisir à dire des jurons. Alors, pour en savoir plus, ils décident que le lendemain, Toto dira le mot « putain » alors que Dédé dira le mot « baiser ».
Le lendemain matin, le Papa de Dédé et Toto les appelle pour le petit-déjeuner.
– Toto, qu’est-ce que tu veux comme petit-déj.?
– Je voudrais ces putains de Choco Pops papa !
Evidemment, ça ne loupe pas, Toto se prend une bonne vieille claque derrière la tête.
Puis le père se tourne vers Dédé :
– Et toi Dédé qu’est-ce que tu veux ?
– Eh ben moi je prendrai pas les Choco Pops, j’ai pas envie de me faire baiser comme Toto !
La vieille dame et le perroquet vulgaire
C’est l’histoire de cette vieille dame un peu pingre qui veut s’acheter un perroquet. Alors elle va dans une animalerie et s’achète un ara que le vendeur lui garantit 100 % parleur.
Elle ramène l’animal chez elle, où par souci d’économie le chauffage ne fonctionne pas encore alors qu’il fait –5°C dehors, et elle installe Jacquot sur son perchoir. A peine est-il posé qu’il crie :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »
La vieille un peu surprise se dit qu’elle montera le chauffage. Mais le lendemain matin, alors qu’elle descend prendre son petit déjeuner, et que la température est un peu plus chaude, le perroquet lui crie en guise d’accueil :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »
Et ça dure comme ça plusieurs jours, et tout ça bien que la maison soit maintenant correctement chauffée. Alors finalement la vieille retourne à l’animalerie et demande au vendeur ce qu’elle doit faire pour calmer son perroquet. Le vendeur lui conseille le stress. Il lui dit :
– Dès qu’il vous sort ses gros mots, empoignez-le par les pattes et faites-le tournoyer plusieurs fois à bout de bras.
Dès le lendemain, le perroquet l’accueille avec son traditionnel :
« PUTAIN QU’EST-CE QU’IL CAILLE ICI ! »
Alors la vieille bien décidée à en finir l’empoigne par les pattes, lui fait faire 3 tours de manivelle puis le repose sur le perchoir. A ce moment, le perroquet ajoute :
« ET NOM DE DIEU, QUEL VENT ! »
Les occupants de la voiture incriminée
Les perles : les assurances
« Quand surgit la voiture incriminée, j’étais sur le trottoir, un monsieur genre bourgeois huppé était au volant et sa (ou une) dame était avec. Au moment que le choc s’est produit cette personne l’a injuriée de façon déplacée si bien qu’elle l’a giflée et avec tout ça l’autre, qui avait eu le choc ne pouvait pas avoir son constat signé. À mon avis, la dame a tort. »