blague ingénieurs

De l’importance des mathématiques pour un ingénieur

– Je me suis toujours félicité, raconte un ingénieur, d’avoir fait Maths Sup. Jusqu’à ce que j’aie une trentaine d’années, la pratique des mathématiques m’a été très utile, au restaurant, pour additionner les prix des plats et voir ainsi ce que je pouvais me payer avec mon maigre salaire.
– Et depuis que vous avez une bonne place ?
– Je ne me tracasse plus pour la note mais je compte, avec encore plus d’attention, les calories que je vais absorber.

L’ingénieur et l’éboulement de la mine

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Un éboulement s’est produit au fond d’une mine de charbon : les deux derniers gars à sortir sont l’ingénieur de la mine et un mineur.

L’ingénieur semble s’en être sorti plutôt bien par rapport au « gueule noire » qui a la tête toute aplatie sur le dessus et dont le menton montre un énorme hématome.

L’ingénieur explique :
– Je serai éternellement reconnaissant envers cet homme qui a réussi à empêcher la galerie où nous étions de s’effondrer totalement en maintenant le plafond avec sa tête !

Le médecin lui demande alors :
– Ça explique que le sommet de son crâne se soit aplati, mais alors à quoi correspond l’hématome sous le menton ?

L’ingénieur :
– Oh, eh bien c’est là où j’avais placé le cric.

L’ingénieur, le physicien et le mathématicien

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Lors d’une expérience, un ingénieur, un physicien et un mathématicien sont enfermés chacun dans une pièce, avec une boite d’épinard, mais sans ouvre-boîtes.

24 heures plus tard, les portes de chacune des trois pièces s’ouvrent….

Dans la première pièce, l’ingénieur est en train de dormir avec à côté de lui la boite de conserve toute cabossée, mais ouverte et vide. On le réveille et on lui demande comment il a procédé. Il explique :
– Quand j’ai eu faim, j’ai pris la conserve et j’ai tapé sur son point de moindre résistance.

Dans la deuxième pièce, le physicien est lui aussi repu d’épinards. Il explique :
– Quand j’ai eu faim, j’ai observé la boite, posé quelques équations et appliqué une forte pression sur les points idoines, et la boite s’est ouverte.

Dans la troisième pièce, le mathématicien est assis par terre dans un coin, la boite d’épinard à ses pieds et il marmonne en transpirant à grosses gouttes :
– Supposons que la boite est ouverte, supposons que la boite est ouverte…