blague industriel

La secrétaire quelconque

– Alors, demande un industriel à son visiteur devant qui une incandescente secrétaire en jupe ultra-courte vient de dévoiler ses charmes abondants, en fouillant dans un tiroir, comment la trouves-tu ?
– Peuh ! Fait l’autre, assez quelconque.
– Si elle ne te produit aucun effet, veux-tu m’expliquer pourquoi, tout en la regardant, tu as vidé le contenu de ton verre de whisky dans ton col de chemise, tu t’es introduit ton cigare dans l’oreille droite et tu as tenté pendant trois minutes de l’allumer en mettant le feu à ta moustache avec ton briquet ?

Les escroqueries industrielles

Un de ses débiteurs vient trouver un industriel :
– Vous êtes un bandit ! Lui dit-il. Vous avez même, il y a quelques années, été condamné à un an de prison avec sursis pour escroquerie.
– Comment savez-vous cela ?
– C’est un détective privé qui a enquêté sur vous.
– Et combien vous a-t-il pris, pour cette enquête ?
– Deux mille euros.
– Vous seriez venu me trouver directement, je vous renseignais encore mieux pour seulement la moitié de cette somme.

Vivre dans un placard à balais

– Dans mon enfance, raconte complaisamment un industriel qui a réussi, nous étions huit frères et sœurs. Nous vivions dans un logement si minuscule que ma mère avait installé mon lit et celui d’un de mes frères dans le placard à balais.
– Ça devait être gênant.
– C’est bien pourquoi elle s’est acheté un aspirateur.

La psychose du téléphone

– J’ai, raconte un industriel, dû suivre un traitement psychanalytique. La sonnerie du téléphone m’effrayait à un point tel que, dès qu’elle retentissait, j’allais me cacher sous mon bureau pour tenter d’y échapper.
– Et alors ?
– Et bien, après trois séances de psychanalyse par semaine pendant deux ans, je suis complètement guéri. A présent, je réponds au téléphone même quand il ne sonne pas.