blague industriel

T’as le bonjour d’Alfred

Un industriel réunit ses employés :
– Mes bons amis, leur dit-il, je viens de recevoir longuement vos délégués syndicaux qui m’ont exposé vos problèmes. Je les comprends. Mieux, je les approuve. Hélas ! Vous me réclamez de l’argent et, moi, je n’en ai pas à vous donner. Toutefois, votre démarche n’aura pas été inutile. Je vais faire un geste en votre faveur. Dorénavant, au lieu de me dire respectueusement « Monsieur le Directeur », je vous autorise à m’appeler familièrement par mon prénom : « Albert ».

Le pied du milliardaire

Au fameux et aujourd’hui défunt Andrew Carnegie, roi de l’acier et fondateur de nombreuses bibliothèques qui portent son nom, on demanda un jour :
– Quel est le facteur le plus important dans une industrie : le travail, le capital ou l’intelligence ?

Le milliardaire répondit :
– Quel est le pied le plus important dans un trépied ?

La peine de l’héritage

A l’enterrement d’un riche industriel, un homme pleure à chaudes larmes. Pourtant, personne dans la famille ne le reconnaît. Mais il pleure avec tant de sincérité qu’un cousin du défunt s’approche :
– Pourquoi êtes-vous si triste, monsieur ?
– Cette mort, c’est affreux ! répond l’étranger.
– C’est vrai, reprend le cousin, mais je ne comprends pas votre réaction, vous ne faites même pas partie de la famille…
– C’est justement pour ça que je pleure !

Le succès et l’échec

– Comment, demande-t-on à un industriel, êtes-vous arrivé au degré de réussite que vous avez atteint, aujourd’hui ?
– Simplement : en me répétant tous les jours que si le succès n’est jamais définitif, d’autre part, l’échec n’a rien de fatal.