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La blague de l’indien du débarquement

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En 1944, les USA s’apprêtent à débarquer en Normandie et enrôlent à tour de bras pour garnir les troupes d’assaut. Des sergents recruteurs sillonnent le vaste pays et enrôlent le fils du chef indien, qui ne parle que le comanche et ne comprend pas très bien ce qui lui arrive…

2 semaines d’instruction, un parachute sur le dos et hop, largué au-dessus de Ste Mère-Église au petit matin d’un jour de juin…

Naturellement, notre jeune comanche, peu habitué aux délicates manoeuvres d’un parachute de l’époque, dérive gravement et finit par se poser en pleine cambrousse, Complètement perdu, à des kilomètres de son escadron.

Surgit alors un brave paysan. Ebahi mais ravi de voir un G.I. celui-ci plante sa fourche dans le sol et essaie d’entamer la conversation.

– Oh, un américain à c’t’heure ! Salut mon gars ! T’es parachutiste ?

Evidemment, l’autre ne comprends rien et reste bouche bée. Le paysan met alors ses bras au-dessus de sa tête, comme ça, vous voyez, en forme de parachute, et repose la question, sans succès. Avec son index et son majeur, il représente un personnage entrain de marcher et demande :
– T’es fantassin mon gars ?

L’autre, un peu inquiet recule d’un pas sans mot dire. Empoignant une mitrailleuse imaginaire, mais tressautante, il demande :
– T’es mitrailleur peut-êt’ ?

L’autre, de plus en plus circonspect recule de 2 pas. Dans une dernière tentative, le paysan place ses mains en cornet devant ses yeux, comme ceci, à la manière d’une paire de jumelles et demande :
– C’est-y qu’t’es un éclaireur venu pour observer, des fois ?

A ce moment, le G.I. affolé s’enfuit en courant. Déçu, notre brave paysan reprend sa fourche et s’en va de son côté en grommelant. Heureusement, l’histoire se termine bien pour notre héros, qui, après une campagne victorieuse est démobilisé et réexpédié dans sa réserve natale.

Arrivé dans son tipi, son grand sachem de père le questionne sur ses exploits guerriers et lui demande entre autre s’il fut un vaillant guerrier digne de ses ancêtres, n’ayant pas connu la peur.

L’ex-G.I. répond :
– Jamais je n’ai connu la peur, sauf une fois: Le premier homme blanc de là-bas que j’ai rencontré, eh bien figure toi qu’il parlait comme nous ! Et là, j’ai eu vraiment peur. Il m’a dit :
« Quand frère soleil très haut dans ciel,
Quand autres guerriers partis très loin,
Je vais te défoncer le cul.
T’auras les yeux qui te sortiront de la tête. »

La quittance d’eau indienne

Dans une réserve indienne, une femme Sioux dit à son mari :
– Coyotte-aux-pieds-d’argent, tu sais qu’on nous a coupé l’eau parce que nous n’avions pas payé notre dernière quittance. Alors, pourrais-tu improviser une petite danse pour faire pleuvoir, juste une averse, afin que je prenne ma douche ?

Le touriste américain dans la réserve d’Indiens

Un touriste américain visite une réserve d’Indiens. On l’amène au sommet d’une colline, devant un guerrier apache, tout harnaché de plumes, qui a allumé un feu et qui est entrain d’envoyer des messages de fumée à une tribu voisine. Alors le touriste contemple cette scène d’un autre âge et au bout d’un moment, il demande négligemment :
– Dites-moi, mon vieux, c’est très folklorique votre boulot, mais à quoi ça sert, cet extincteur qui est par terre ?
– Ben, dit l’Indien, c’est la gomme pour corriger mes fautes…

Le mystère des noms indiens

C’est un petit indien qui va voir son papa :
– Papa, peux-tu m’expliquer le mystère de nos noms indiens ?
– Mais bien sûr, mon fils. Chez nous, le nom doit refléter un événement qui s’est produit quand on a vu le jour. Vois-tu, ton grand frère, par exemple, il se nomme « Grand-Aigle-qui-vole-dans-l’azur » car lorsqu’il est né, j’ai aperçu ce majestueux oiseau dans le ciel. Ta petite soeur se nomme « Vif-Argent-qui-remonte-les-flots » car, ta mère ayant accouché au bord d’un torrent, j’y ai aperçu un saumon qui le remontait avec grâce.
– Oh, je comprends. Merci beaucoup, papa !
– Avec plaisir, Chiens-qui-s’enculent-devant-le-tipi !