blague hygiène
Le bouc de la Flandre profonde
Cela se passe dans un petit village de la Flandre profonde. Marietje Vanachterthoekske est la doyenne du village et vit dans sa petite maison tout au bout du village, avec son vieux bouc bien aimé, vestige de son ancien troupeau.
Or, un jour d’hiver, Marietje se rend compte que son bouc a pris froid et tousse affreusement. Complètement paniquée, elle appelle le vétérinaire du coin pour une consultation.
Le vétérinaire examine donc le bouc et dit à Marietje :
– Ben voilà, ton bouc a une bronchite aiguë et il faudrait absolument qu’il soit continuellement tenu au chaud. Or je vois qu’il est dans ton étable non chauffée. Il faut absolument que tu trouves une solution.
Mais Marietje n’est pas très riche, et elle ne peut pas se permettre de chauffer l’étable, ni de chauffer rien du tout pendant la nuit.
Elle répond donc au vétérinaire :
– Bon, pendant la journée, je le garderai dans la cuisine, mais je ne sais pas ce que je vais faire pour la nuit… Je ne vois qu’une solution : Il viendra dormir dans mon lit, ainsi il sera bien au chaud.
Le vétérinaire :
– Oui Marietje, c’est une solution, mais… et l’odeur ?
Marietje réfléchit quelques instants puis :
– Ha, tant pis,… Il n’aura qu’à s’habituer !
La compétition maritale
C’est un couple de jeunes mariés qui raffole des jeux et des challenges. Chaque événement du quotidien est prétexte à une compétition : ils se tirent la bourre pour leur réussite professionnelle, ils se tirent la bourre à chaque jogging matinal, quand il font les courses à Auchan, c’est au premier qui a finit de remplir son caddie, etc.
Mais pas de bol, à ces petits jeux, c’est madame qui est toujours la plus forte : elle court plus vite, elle obtient toujours des augmentations beaucoup plus vite que son mari, Auchan n’a plus de secret pour elle…
Pour le mari, ces défaites perpétuelles commencent à devenir pesantes. Il devient d’abord irascible, puis triste et morne, et enfin dépressif. Sa femme lui conseille alors de consulter un psy. Le psy l’écoute raconter ses déboires et en tire tout de suite une conclusion :
– Vous devez porter le terrain là où vous êtes sûr de gagner ! Voyons un peu ce qui pourrait vous avantager de façon inéluctable…. Oui bien sûr : vous m’avez bien dit que tout pouvait être prétexte à compétition entre vous deux, n’est-ce pas ? Eh bien faites le concours de celui qui pisse le plus haut sur un mur !
Après un moment de surprise, le gars se laisse convaincre, et rentrant à la maison, il est tout joyeux pour dire à sa femme :
– Chérie, chérie, j’ai trouvé un nouveau jeu !
Sa femme est toute gaie, elle aussi :
– Ah oui, et qu’est-ce que c’est ?
– Eh bien, c’est le jeu de « celui qui pisse le plus haut sur le mur ». Tu n’as qu’à me suivre, et on va aller dans la cour pour faire ça tout de suite contre le mur du garage.
Bonne joueuse, la femme le suit et commence. Elle baisse sa culotte, soulève sa jupe, lève une jambe et hop ! Voilà le jet qui atteint 1,80 mètres, ce qui est déjà un bon score.
La femme se tourne alors vers son mari qui se met en position, sort le tuyau d’arrosage et commence à…
– STOP !, lui dit alors sa femme, tu fais comme moi : SANS LES MAINS !