blague hygiène

L’hygiène chez les paysans

Dans une ferme au fin fond du Jura, deux fermiers typiques.

Albert et sa femme la Marie. Il est 10h00 environ au cadran solaire de la ferme. Comme chaque lundi, la Marie balaie la cour. Soudain, elle voit passer, devant son balai et à toute vitesse comme s’il était effrayé par quelque chose, un petit poussin. Il n’est pas jaune, sa couleur naturelle mais brunâtre, dégoulinant et surtout dégage une forte odeur indescriptible.

Pas de quoi en faire un plat, la Marie reprend son balai et son geste franchement inutile. Et de deux, un deuxième poussin, dans le même état que le premier et dans une course effrénée, des cris stridents et les yeux exorbités s’enfuit au fond de la grange.

Etrange se dit-elle, balayant de plus belle. Et de trois, le troisième poussin dégoulinant, carrément noir vient heurter son balai avant de détaler à tire-d’aile.

Cette fois la Marie fonce vers le coin de la ferme et s’écrie : « c’est toi l’Albert ? »

« Oui, c’est moi ! ……….. dis-donc, la Marie, t’aurais pas du papier parce que là, j’ai plus de poussin ! »

Les toilettes africaines

C’est un gars qui est en voyage dans un pays d’Afrique. Il a vraiment besoin de faire sa grosse commission et recherche désespérément des toilettes.

A sa grande surprise, il trouve des toilettes publiques… Il rentre à l’intérieur en pinçant son nez, mais après tout il se dit qu’il fera bien avec l’odeur…

Après s’être libéré de son fardeau, il regarde partout autour de lui: Pas de papier-toilettes. A la place sur le mur, un pictogramme est légendé en plusieurs langues (dont le français) et ça dit :
« Pas de papier. Utilisez votre doigt, puis introduisez le dans l’orifice de ce côté pour le nettoyage. »

Le gars s’essuie consciencieusement avec son doigt, introduit dans l’orifice indiqué, et SE LE FAIT APLATIR PAR UN BON COUP DE MARTEAU !

« HOUGH » crie le gars, avant de s’introduire son doigt dans la bouche par réflexe.

Le lavage avant l’école

– Tu ne t’es pas lavé, avant de partir pour l’école, dit une dame à son jeune fils et je le prouve. J’avais caché une pièce de 2 euros sous le savon, pour que tu t’achètes des carambars, et je viens de regarder : elle y est encore.