Trois jeunes filles sont en compétition pour une place d’hôtesse de l’air. Le directeur de la compagnie leur pose cette question, pour les sélectionner : – Que feriez-vous si, votre appareil ayant pris feu, vous tombiez en parachute sur une île, occupée par les cinquante marins d’un navire et leur capitaine, naufragés depuis deux ans ?
La première candidate, une Espagnole, répond : – Je m’évanouirais de terreur.
La seconde, une Américaine : – Je supplierais le capitaine de maintenir ses hommes en respect.
Et la dernière, une Française : – Je comprends clairement quelle est la situation mais, franchement, je n’arrive pas à voir où est le problème !
Un 747 est au dessus de l’atlantique lorsqu’un pirate de l’air fait irruption dans la cabine de pilotage et pointe un pistolet contre la tempe du pilote : – Menez cet avion jusqu’en Irak ou je vous éclate la cervelle !
Le copilote lui répond calmement : – Je serai vous, j’éviterez de pointer mon arme sur le pilote : il a le coeur fragile. Et quant à moi, je serai bien incapable de vous mener là où vous le souhaitez si il meurt…
Le pirate de l’air réfléchit alors deux secondes, puis il pointe son arme sur le mécanicien et dit : – OK maintenant, faites comme j’ai dit, sinon c’est sa cervelle qui explose !
Mais le mécanicien répond tout de suite : – Je ne ferai pas ça si j’étais vous : Le pilote et le copilote ne sauront pas atteindre l’Irak sans mon aide. Si vous me tuez, cet avion ira directement dans l’océan et c’est tout !
Alors le pirate réfléchit à nouveau deux secondes, puis il pointe son arme vers l’hôtesse de l’air et dit : – Bon maintenant, vous allez détourner l’avion vers l’Irak ou je lui éclate la cervelle !
Personne ne répond quoi que ce soit… mais l’hôtesse chuchote alors quelque chose à l’oreille du pirate de l’air, qui ne tarde pas à rougir, puis il laisse tomber son arme et quitte le cockpit en courant, affolé !
L’équipage se met alors à sa poursuite et ils finissent par le bloquer dans un coin de l’avion. Le pilote demande alors à l’hôtesse ce qu’elle lui a raconté pour lui faire perdre tous ses moyens : – Je lui ai dit que si il me tuait, c’est LUI qui serait obligé de tailler des pipes à vous trois.
C’est une nouvelle hôtesse de l’air blonde qui accompagne l’équipage sur un vol long courrier. Lors de l’escale, le commandant montre à la blonde où manger et dans quel hôtel dormir.
Le lendemain, l’équipage doit repartir. Tout le monde est à l’aéroport, sauf la nouvelle hôtesse blonde. Le commandant qui s’inquiète appelle l’hôtel et demande la chambre de la nouvelle. Elle décroche le téléphone, et en sanglotant, elle explique qu’il lui est impossible de sortir de la chambre… – Quoi, vous ne pouvez pas sortir de votre chambre ? Et pourquoi ça ?, demande le commandant. – Eh bien, c’est parce qu’il y a seulement trois portes ici. L’une est la porte de la salle de bains, la deuxième est la porte des toilettes, et sur la troisième, il y a une pancarte « Ne pas déranger » !
Nous sommes sur un vol long courrier d’Air France au-dessus du Pacifique, tout le monde dort, tous sauf deux homos qui n’arrivent pas à trouver le sommeil… L’un des deux, le moins timide, propose à son ami de faire l’amour, là dans l’avion ! – Allez va on le fait, on en avait déjà parlé, tu étais d’accord ! – Non mais tu te rends compte du monde qu’il y a ! Non merci, j’ai pas envie de prendre la honte si on nous surprend ! – Mais si on ne risque rien, tout le monde dort, allez viens ! – Comment peux-tu en être aussi sûr ? – Mais si, j’en suis sûr, regarde !
Il se lève et demande à voix haute… « Est-ce que quelqu’un aurait un stylo s’il vous plaît ? » Aucune réaction des passagers … – Tu vois tout le monde dort, personne ne peut nous surprendre. Maintenant prends moi, j’ai vraiment trop envie ! Le second rassuré se met à l’ouvrage, ils font l’amour sans être dérangé et s’endorment peu de temps après…
Au petit jour l’hôtesse passe dans les couloirs et demande si tout s’est bien passé… et là, non loin des places de nos deux amoureux une petite vieille grelotte : – Madame, tout va bien ? lui demande l’hôtesse. – Ho ! j’ai eu un peu froid cette nuit mais si non ça va… – Mais vous auriez du demander une couverture ! – Ah ça non ! Un monsieur a juste demandé un stylo et il s’est fait enculer…