blague hôpital psychiatrique

Logique psychiatrique

À l’hôpital psychiatrique, c’est l’heure de la promenade et les internés bavardent entre eux.
– Oh, tu n’as pas l’air en forme, aujourd’hui. Tu as mauvaise mine.
– Ne m’en parle pas ! Je ne ferme plus l’œil depuis plusieurs nuits.
– Mais pourquoi ?
– Parce que je ronfle et que mes ronflements m’empêchent de dormir.
– Tu n’as qu’à faire comme moi. Va dormir dans la chambre d’à côté.

Un suicide de fou

Dans un hôpital psychiatrique, deux malades discutent de leurs malheurs. L’un d’eux voulant en finir avec la vie part à la cuisine et revient avec une poêle à frire. Le deuxième, stupéfait, lui demande :
– Que veux-tu faire avec cette poêle ?
– Je veux me faire sauter la cervelle !

Le fou du piano

Un malade en regarde un autre en train de jouer du piano dans le bar de l’hôpital psychiatrique. Il s’approche et lui demande :
– Vous ne vous servez jamais des pédales ?
– Si, mais seulement pour freiner quand je joue trop vite.

Les fous de train

Un inspecteur visite un hôpital psychiatrique. Plusieurs malades se tiennent par les coudes en faisant le bruit de la locomotive : « Tchou-tchou-tchou ». L’inspecteur se tourne alors vers le directeur :
– Ça ne vous dérange pas tout ce bruit ?
– Non, mais c’est la fumée qui me gêne.

Comment passer le temps

Dans le jardin d’un hôpital psychiatrique, un malade s’approche d’un autre :
– Qu’est-ce que tu fabriques avec cette casserole ? lui demande-t-il.
– Ce n’est pas une casserole, c’est une passoire, répond-il. Tel que tu me vois, je suis en train de passer le temps et c’est très long !
– Eh bien ! tu n’as qu’à agrandir les trous.