blague hôpital psychiatrique
La Mercedes humaine
Avant de prendre congé d’un de ses patients qui se prenait pour une automobile, le directeur de l’hôpital psychiatrique lui livre un dernier laïus :
– Vous voilà complètement guéri. Maintenant vous savez que vous n’avez pas de carrosserie, ni de moteur, ni d’autoradio. Vous n’avez donc plus aucune raison de vous prendre pour une Mercedes ! Vous allez pouvoir rentrer chez vous et retrouver votre petite famille. J’espère que vous êtes content !
Le patient regarde ses chaussures et dit :
– Mais je ne peux pas prendre la route avec ces pneus-là !
La blague du mât fou
Le directeur d’un hôpital psychiatrique, content de ses pensionnaires, décide de leur offrir à tous un cadeau, dans le domaine du possible. Le premier des malades vient et dit :
– Est-ce vrai que l’on peut demander ce que l’on veut et qu’on l’aura ?
– C’est vrai, mais dans la limite du possible, annonce le directeur, que voulez-vous ?
– Eh bien, je voudrais un grand mât, d’environ 15 mètres pour demain.
Perplexe, le directeur accepte tout de même. Arrive un second malade qui lui demande :
– Je désirerais un gros pot de peinture blanche. Est- ce possible ?
– Cela l’est, accorde le directeur de plus en plus interloqué, vous l’aurez demain.
Un troisième arrive :
– J’aimerais avoir une planche 50 x 50 cm et un gros feutre noir indélébile.
Le directeur, au comble de l’étonnement, accepte et lui promet pour le lendemain.
Le jour dit, il va vérifier les dires du premier et trouve au milieu de la cour un mât peint en blanc. Il remarque alors, tout en haut de celui-ci, la petite planchette de bois où est écrit quelque chose qu’il ne peut lire. Prenant son courage à deux mains, le directeur grimpe au mât. Arrivé à la hauteur de la planchette, il peut lire :
– Attention, peinture fraîche !