blague handicap
La femme qui avait une jambe de bois
C’est dans un bal de campagne, il y a toute une bande de copains complètement blindés.
Le Jean-Paul, il repère une fille et il va l’inviter à danser. Elle lui répond :
« Je te préviens j’ai une jambe de bois. »
Ça le calme et il va se rasseoir mais il revient à la charge 5 minutes plus tard. Elle lui dit :
« En fait j’ai 2 jambes de bois ! »
Après réflexion, Jean-Paul se dit que de toute façon, un trou est un trou. Après quelques danses, ils se retrouvent dans la grange voisine dans la position du missionnaire…
Un de leur copain qui revient de pisser pour évacuer le mauvais vin blanc, passe devant la grange et retourne voir ses copains, mort de rire et leur dit :
« Hé les gars, y a Jean-Paul qui encule une brouette dans la grange ! »
Le bras du voleur pris la main dans le sac
Un jeune avocat voulant se faire un nom hérite d’un cas typique de vol avec effraction. Et en flagrant délit, de surcroit. Mais il tente sa chance et décide d’adopter une défense originale : – Votre Honneur, le bras de mon client est passé à travers une vitre peu solide, et a ramassé quelques menus objets qui ne valent pas grand chose. Oserais-je vous faire remarquer que même si son bras est coupable, mon client ne l’est pas puisque son bras n’est pas vraiment lui. Je conçois que vous punissiez le bras, mais ne serait-ce point une iniquité de condamner l’individu tout entier ?
Le juge, bon joueur, regarde l’avocat avec un sourire en coin et lui dit :
– Maître, je trouve votre logique fascinante, et en adoptant votre point de vue, je condamne le bras du condamné à 12 mois de prison fermes. L’accusé peut accompagner son bras s’il le désire.
Une petite lueur d’amusement s’allume alors dans les yeux de l’avocat lorsqu’il voit son client se diriger vers le greffier, détacher son bras artificiel et sortir du tribunal.
Le papa et son bébé qui n’a pas tout à fait tout
Un futur papa attend, angoissé, à la porte de la salle de travail. Le médecin en sort avec une tête pas gaie, qui laisse présager le pire. Le médecin s’adresse à l’homme :
– Eh bien monsieur, votre enfant est né, mais… Il va falloir être courageux. C’est que… votre bébé n’a pas de bras.
– Tant pis. C’est mon petit bébé et je l’aimerai quand même.
– C’est que, monsieur, répond le docteur, votre enfant n’a pas de jambes non plus.
– Ah… Mais c’est affreux !
– Mais c’est tout de même mon petit bébé et je l’aimerai quand même.
– Il n’a pas de tête…
– Il n’a pas de tronc non plus.
– Aaaaah… C’est… C’est tout de même mon petit bébé et je, je… je l’aimerai quand même.
Anéanti, il ne dit plus rien. Le médecin sort alors de sa poche une petite boîte qu’il ouvre. Elle contient une oreille :
– Voilà votre enfant…
Le papa prend délicatement la boîte dans sa main et, bouleversé, dit :
– Tant pis… Tu n’es pas comme les autres, mais tu es mon petit bébé, et je t’aimerai quand même.
Et le médecin :
– Laissez tomber, il est sourd…
La nature qui compense les déficiences physiques
C’est le docteur qui est en train d’expliquer à Paddy Mac Millan comment la nature est capable de compenser certaines déficiences physiques :
– Par exemple, si un homme est aveugle, il développe son ouïe et son sens du toucher de façon beaucoup plus importante qu’un homme non-aveugle ! Si un homme est sourd, lui aussi va développer ses autres sens qui ne sont pas déficients.
Et Paddy répond :
– Je vois c’que vous voulez dire, j’ai r’marqué que si un gars est avec une jambe plus courte, l’autre est toujours un peu plus longue.