blague guillotine

Le roi a peur

Les perles : la justice

20 janvier 1793 : un mauvais jour pour le roi.
– J’ai peur de la guillotine, souffle Louis XVI à Marie-Antoinette.
– Mon cher, t’as qu’à pas y aller ! lui répond la reine.
Il sera exécuté le lendemain place de la Révolution, aujourd’hui place de la Concorde.

Le tremblement de tête

Les perles : la justice

Le savant et député du Tiers État, Bailly, est arrêté en 1793. Quand il monte à l’échafaud, le bourreau lui demande :
– Tu trembles ?
– Oui, mon ami, mais c’est de froid ! répond le condamné à mort.

La perfection du bourreau

Les perles : la justice

Victor Hugo, dans un de ses ouvrages, fait parler un bourreau. « Comment voulez-vous qu’on vous guillotine, mon ami, si vous ne vous tenez pas mieux que ça ? » s’énerve le professionnel. Il y avait des bourreaux perfectionnistes…

L’humour guillotiné

Les perles : la justice

Parmi les guillotinés de la Révolution, certains s’efforceront jusqu’au dernier instant de cultiver l’humour, pour dénouer la détresse pressante. Ainsi André Chénier, en se frappant le front, lancera-t-il en 1794 : « Pourtant, j’avais quelque chose, là ! »