blague guide

Le guide de la survie dans un bar

Symptôme : Pieds froids et humides.
Cause : Verre renversé
Solution : Tourner le verre jusqu’à ce que le côté ouvert soit orienté vers le plafond.

Symptôme : Bière bizarrement incolore et sans saveur.
Cause : Verre vide.
Solution : Trouver quelqu’un pour vous en payer un autre.

Symptôme : Mur opposé recouvert de tubes au néon.
Cause : Vous êtes tombé sur le dos.
Solution : Raccrochez-vous au bar.

Symptôme : Bouche pleine de mégots.
Cause : Vous êtes tombé sur le dos.
Solution : Raccrochez-vous au bar.

Symptôme : Bière sans goût, le devant de votre chemise est mouillé.
Cause : Bouche non ouverte, ou verre pas porté du bon côté du visage.
Solution : Aller aux toilettes, faire des exercices devant le miroir.

Symptôme : Pieds chauds et mouillés.
Cause : Perte de contrôle de votre système d’évacuation.
Solution : Aller jusqu’au chien le plus proche, se plaindre de son dressage.

Symptôme : Le sol est flou.
Cause : Vous regardez À travers le fond de votre verre vide.
Solution : Trouvez quelqu’un pour vous payer une autre bière.

Symptôme : Le sol tremble.
Cause : Vous êtes portés par d’autres.
Solution : Découvrir si on vous emmène vers un autre bar.

La mort des blondes

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Un homme en très mauvais état se présente chez St-Pierre, après une mort apparemment violente.

Celui-ci demande : « Mais qu’est ce qui s’est passé ? »

L’homme explique : « J’étais guide de safari en Afrique et j’accompagnais un groupe de femmes, six blondes et une brune. En traversant un pont de lianes au-dessus d’une rivière infestée de crocodiles, un coup de vent nous a fait basculer. On a tous réussi à se retenir aux cordages. Nous étions suspendus en l’air et comme le pont menaçait de lâcher à cause du poids, il fallait que quelqu’un se sacrifie. Comme j’étais le seul homme… »

Dix minutes plus tard, St-Pierre voit débarquer un troupeau de blondes dans le même état que l’homme qu’il vient de conduire au Paradis.

Il demande immédiatement aux arrivantes : « Mais ce brave homme qui s’est sacrifié, a-t-il donc fait ça pour rien ? »

L’une des blondes explique : « Bah, c’est à cause de cette maudite brune qui nous accompagnait… Quand le guide s’est laissé tomber, elle a dit : Un homme aussi courageux, il mériterait qu’on l’applaudisse… »

La blague du rat géant de Sumatra

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Un scientifique vient de débarquer à Bornéo pour trouver de nouvelles connaissances sur son sujet de thèse : le rat géant de Sumatra. Sur place, il loue les services d’un guide habitué à la forêt et réputé pour être très sûr. Les deux hommes partent en expédition, à la recherche d’indices, de signes et autres témoignages permettant d’en savoir un peu plus sur ce rongeur si méconnu.

Au crépuscule de leur premier jour d’expédition, le scientifique et son guide sont assis devant le feu de camp lorsqu’au lointain, un bruit de tam-tam se fait entendre. Imperceptiblement, le bruit de tam-tam se fait plus présent.

Le guide semble inquiet et dit au scientifique :
– Je n’aime pas ce bruit de tam-tam…

Un peu plus tard, alors que la nuit est complètement tombée sur la forêt, le tam-tam semble s’être encore rapproché. Le guide annonce :
– Je n’aime vraiment pas ce bruit de tam-tam…

Finalement, sur le coup de minuit, le tam-tam s’est tant rapproché qu’il est évident qu’il est là, tout près. Le guide prend encore la parole pour avouer ses craintes :
– Je n’aime VRAIMENT pas du tout ce bruit de tam-tam…

Et instantanément après, le bruit de tam-tam s’arrête. Ensuite, une voix perce dans la forêt ténébreuse et dit :
– Hé mec, c’est parce que c’est pas notre percussionniste habituel !

Langages de programmation et balle de pistolet

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La prolifération des langages de programmation modernes (qui semblent tous avoir piqué des idées les uns sur les autres) fait qu’il est parfois difficile de se souvenir quel langage vous être en train d’utiliser. Ce guide est conçut pour aider les programmeurs qui se trouvent dans un tel dilemme.

C :
Vous vous tirez dans le pied.

C++ :
Vous créez accidentellement une douzaine d’instances de vous-même et leur tirez tous dans le pied. Apporter une aide médicale est impossible car vous ne pouvez pas affirmer quelles sont les copies, chacune se montrant du doigt et disant « c’est moi, là-bas. »

FORTRAN :
Vous vous tirez dans chaque doigt de pied, itérativement, jusqu’à ce que vous n’ayez plus de doigts de pied, puis vous changez de pied et recommencez l’opération. Si vous n’avez plus de balles, vous continuez quand-même, car vous n’avez pas pensé à installer un gestionnaire d’exceptions.

Modula-2 :
Après avoir réalisé que vous ne pouviez rien faire en ce langage, vous vous tirez une balle dans la tête.

COBOL :
AVEC un REVOLVER COLT45 VISER PISTOLER à JAMBE.PIED, ALORS appuyer BRAS.MAIN.DOIGT sur REVOLVER.GACHETTE. ALORS retourner REVOLVER à HOLSTER. VERIFIER si CHAUSSURE.LACET doit être refait.

BASIC :
Tirez dans votre pied avec un pistolet à eau. Sur gros système, continuez tant que tout le corps n’est pas trempé.

FORTH :
Pied dans votre tirez.

APL :
Vous vous tirez dans le pied, puis vous passez tout le reste de la journée à vous demander comment le faire avec moins de caractères.

PASCAL :
Le compilateur ne vous laissera pas vous tirer dans le pied.

Concurrent Euclid :
Vous tirez dans le pied de quelqu’un d’autre…

Motif :
Vous passez des jours à écrire une description UIL de votre pied, la trajectoire, la balle, et du motif complexe du manche en ivoire du pistolet. Quand vous arrivez enfin à appuyer sur la gâchette, le revolver s’enraye…

Unix :
% ls foot.c foot.h foot.o ortiel.c orteil.o
% rm *.o
*.o No such file or directory
%
% ls

Xbase :
Vous tirer dans le pied, pas de problème. Si vous voulez vous tirer dans le pied, vous devez utiliser « Clipper ».

Paradox :
Non seulement vous pouvez vous tirer dans votre pied, mais les autres utilisateurs aussi.

Reveration :
Vous pourrez vous tirer dans le pied dès que vous aurez compris à quoi servent toutes ces balles.

Visual Basic :
Vous allez vous tirer dans le pied, mais vous allez tellement prendre votre pied à le faire que vous n’allez rien sentir.

Prolog :
Vous dites au programme que vous voulez vous faire tirer dans le pied. Le programme comprend comment le faire, mais la syntaxe ne permet pas de l’exprimer.

370 JCL :
Vous envoyez votre pied à MIS avec un document de 4000 pages expliquant comment vous voulez vous faire tirer dessus. Trois ans plus tard, votre pied revient, cuit à point.

(shell) SH :
Vous tirez en l’air, car vous n’avez pas défini le bon environnement ou la bonne syntaxe. Vous décidez alors de le faire en CSH.

(shell) CSH :
Vous prenez trois semaines pour confectionner votre programme, et lorsque vous le lancez, vous vous apercevez que vous avez oublié de tenir compte du nombre de balles. Vous abandonnez et décidez de recommencer en SH.

(shell) TCSH :
Voir CSH.

Assembleur 6800 :
Vous n’avez pas assez d’accumulateurs pour accéder en même temps à votre main et au pistolet.

Assembleur 68000 :
Le coup est partit trop tôt et vous avez pris la balle dans la tête.

Assembleur 8086 :
Vous ne pouvez pas tirer car le pistolet et les balles ne se trouvent pas dans le même segment.