blague guerre

La blague du dragueur

Un monsieur rouge de colère sonne à la porte d’un dragueur impénitent.
– Bonjour, monsieur.
– Bonjour…
– Vous étiez bien à Saint-Tropez en juillet ?
– Euh… Oui.
– Le 15 juillet, précisément ?
– Oui, je crois.
– À l’hôtel des Flots bleus ?
– Oui.
– Chambre 26 ?
– Oui ?
– Avec une certaine Emmanuelle Martin ?
– Euh… Je crois bie Alphonse Allais n, oui.
– Eh bien je suis son mari et je ne suis pas content du tout, monsieur.

Le dragueur sort alors de sa poche un petit carnet.
– Attendez… Émilie… Émilienne… Ah ! Voilà : Emmanuelle Martin. Eh bien moi non plus je n’en suis pas content, monsieur.

Enseignement communiste

Au temps de la glorieuse URSS, un instituteur soviétique interroge ses élèves :
– S’il éclatait une guerre entre les socialistes et les impérialistes, dans quel camp combattriez-vous ?
– Dans le camp socialiste, répond Igor.

Le maître d’école savoure les résultats de son enseignement qui paraît avoir été parfaitement assimilé. Mais il poursuit ses investigations :
– Et peux-tu me dire pourquoi tu choisis le côté socialiste ?
– Oui, camarade professeur. C’est parce que j’aime mieux être fait prisonnier par les autres.

Fin de guerre indienne

Le chef indien, Bison-Rusé, rentre dans son village et dit à sa femme qui l’attend dans son tipi :
– Ça y est ! La guerre est finie entre Aigle-Agile et moi.
– Ah, bon, vous avez enterré la hache de guerre ?
– Non, j’ai enterré Aigle-Agile.

Le réveil des prisonniers

Pendant la guerre, un simple soldat téléphone à son colonel qu’il réveille en pleine nuit :
– Qui est à l’appareil ? hurle le colonel.
– Soldat Durand, mon colonel.
– Vous vous rendez compte qu’il est deux heures du matin ?
– Excusez-moi, mon colonel. Mais j’ai fait vingt prisonniers.
– Ah, très bien. Amenez-les-moi immédiatement !
– Je veux bien, mon colonel, mais ils ne veulent pas me laisser partir !