blague gazage

La démocratie à la vaseline

La répression policière prend des allures sexuelles
15 février 2017 – La démocratie à la vaseline

Gazages, coups de matraques « gratuits », insultes. Alors que l’état d’urgence reste en vigueur, cette situation extrêmement répressive de la police est en train de se normaliser. J’encule la Police (mais c’est accidentel) …
(Dessin du 15 février 2017)

Les Israéliens et Gaza

Les perles : Facebook

« Liisezbiien svp … On est bien d’accord que ces les Israélien
qui masacre Gaza ?! On est bien d’accord
^ue se sont des juif ?! Si vous vous rappelez
bien pendant la seconde guerre mondial
Hitler gazai les juif dans des camp ?!
Gaz?! …Gaza
Vous voyer bien il se rebelle mais ces pas
Gaza qui les a gazer pourquoi il ne sattaque
pas a l’Allemagne ?! Les couille ne snt pas
sur tous les homme a se que je constate ! »

Le cassoulet du père Eugène

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Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une bonne heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène monta dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.

Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !

Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.

Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
– Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !