Deux commères parlent d’une troisième :
– C’est sûr qu’on arrive plus à savoir son âge ; elle n’achète plus de bougies depuis qu’elle en a acheté un paquet de dix il y a vingt ans !
– Même son mari a des doutes, ajoute l’autre. Quand il dispose les bougies sur le gâteau d’anniversaire de sa femme, il les met en forme de point d’interrogation.
– Je demande le divorce, explique une pauvre femme. Depuis douze ans que nous sommes mariés, à chacun de mes anniversaires, mon mari fait se tordre de rire nos invités.
– Mais, dit le juge, raconter des histoires drôles n’a jamais constitué un motif de divorce.
– Hélas ! Il ne raconte pas d’histoires drôles. Dès que j’ai soufflé les bougies plantées dans mon gâteau d’anniversaire, le monstre fait circuler à la ronde une photocopie de ma carte d’identité avec ma véritable date de naissance.
Une femme d’une quarantaine d’années demande le divorce :
– Vous demandez le divorce pour cruauté mentale, madame, lui dit le juge, expliquez-vous s’il vous plaît.
– Eh bien, fait la dame, à chacun de mes anniversaires, quand tous nos invités sont là, mon mari se livre à la même plaisanterie. Il apporte lui-même le gâteau avec les bougies et il met exactement le compte de bougies ! Mais, hier, il a fait pire : sur le gâteau, il a mis 35 bougies…
– Eh bien, madame, vous devriez être contente ?
– S’il ne les avait pas disposées en forme de point d’interrogation, conclut la femme, je ne dis pas !
