Trois petits garçons viennent de faire la rentrée des classes. Dans la cour de récréation, ils commencent déjà à frimer sur leurs géniteurs respectifs.
Le premier commence : – Mon Papa, c’est le plus grand du monde parce que quand il pose un pied sur le quai de la rive gauche de la Seine, il peut poser l’autre pied sur le quai de la Rive Droite de la Seine !!!
– Peuh, dit le deuxième, c’est rien ça : mon papa à moi, il est plus grand que le tien car quand il a un pied sur le quai de la rive gauche et l’autre pied sur le quai de la rive droite de la Seine, eh bien, rien qu’en levant les bras, il peut toucher les planètes dans le ciel, là !!!
Alors le troisième : – Désolé les gars, mais c’est bien mon papa le plus grand, car quand ton père il a le pied gauche sur un bord de la Seine et le pied droit de l’autre côté, et qu’en tendant les bras, il touche des planètes, eh bien, il s’aperçoit qu’elle sont tièdes ces planètes. En fait, c’est normal, parce que ces planètes, c’est les couilles de mon Papa à moi, là !!!…
Le type sociable : => Il se joint à ses amis pour une pisse qu’il en sente le besoin ou pas, étant donné que ça coûte rien et que ça engendre la compréhension.
Le type gêné : => Ne peut pisser quand on le regarde, prétend qu’il a déjà eu envie et revient plus tard.
Le type nerveux : => Sa braguette bloque, il se fâche et déchire le devant de son pantalon.
Le type bruyant : => Il siffle, chante, rote, pète et parle fort tout en se secouant.
Le type stupide : => Pisse dans la jambe de son pantalon, mouille ses souliers et sort la braguette ouverte.
Le type talentueux : => Il pisse sans se la tenir tout en arrangeant sa cravate.
Le type lunatique : => Il déboutonne sa veste, sort sa cravate et urine dans son pantalon.
Le type enfantin : => Regarde le fond de l’urinoir et admire les bulles.
Le type vantard : => Défait cinq boutons alors que deux suffiraient.
Le type niais : => S’amuse à faire des zigzags dans l’urinoir.
Le type curieux : => Essaie toujours de voir comment son voisin est équipé.
Le type grognon : => Il se tient devant l’urinoir tout en se parlant, pète, essaie de pisser mais n’y parvient pas. Pète à nouveau et sort en grognant.
Le type hypocrite : => Lâche un pet silencieux, renifle et jette un regard accusateur vers son voisin.
Le type snob : => Se tient à 1 mètre de l’urinoir et tient sa verge à deux mains.
Le type très gros : => Doit se reculer à plus d’un mètre de l’urinoir à cause de son ventre, pisse « en aveugle » et mouille les chaussures de son voisin.
Le type nain : => Va à la pissotière avec un escabeau, tombe dans l’urinoir et se noie.
Le type gros dur tatoué : => Frappe sa bite sur le bord de l’urinoir pour l’égoutter.
Le type cochon : => Trouvant tous les urinoirs occupés pisse par terre comme si rien n’était.
Le type endormi : => Secoue son petit ami pour le réveiller mais n’y parvient pas.
Le type loucheur : => Se place devant l’urinoir, regarde celui de gauche et pisse dans celui de droite.
Le type prétentieux : => Tient sa chose comme si c’était un monstre. Son voisin le croit monté comme un âne. Se prend la bite dans la fermeture éclair et sor des pissotières en criant.
Le type joueur : => Pisse en jet à haute pression dans et autour de l’urinoir dans le but d’atteindre une mouche.
Qu’est-ce que l’homme veut vraiment dire quand il parle à la femme ?
« J’ai faim » => « J’ai faim »
« J’ai envie de dormir. » => « J’ai envie de dormir. »
« Je suis fatigué. » => « Je suis fatigué. »
« Ça te dit d’aller voir un film ? » => « Je coucherais bien avec toi. »
« Je t’invite à dîner. » => « Je coucherais bien avec toi. »
« Je peux t’appeler un de ces quatre ? » => « Je coucherais bien avec toi. »
« Tu m’accordes cette danse ? » => « Je coucherais bien avec toi. »
« Belle robe ! » => « Superbe décolleté »
« Tu as l’air tendue; si je te faisais un massage ? » => « J’ai envie de te caresser. »
« Qu’est-ce qui ne va pas ? » => « Je ne vois pas pourquoi tu fais tant d’histoires pour si peu de choses. »
« Qu’est-ce qui ne va pas ? » => « Je suppose faire l’amour ce soir est hors de question. »
« Je m’ennuie. » => « Si on faisait l’amour ? »
« Je t’aime. » => « Faisons l’amour. »
« Je t’aime aussi. » => « Maintenant que je l’ai dit … on peut faire l’amour ? »
« Si si, j’aime ta nouvelle coupe de cheveux. » => « Je préférais comme tu étais avant. »
« Si si, j’aime ta nouvelle coupe de cheveux. » => « Tu parles, 250 balles et c’est strictement pareil qu’avant. »
« D’accord, parlons ! » => « j’essaie de t’impressionner en te faisant remarquer que je ne suis pas superficiel (et peut-être qu’après, on fera l’amour). »
« Veux-tu m’épouser ? » => « Je voudrais que tu arrêtes de faire l’amour avec d’autres types que moi. »
(pendant le shopping) « Je préfère celle-là. » => « Prends n’importe quelle robe et rentrons ! »
« Je ne pense pas que cette jupe et ce chemisier vont bien ensemble. » => « Je suis gay. »
« Tu veux. » => « Je sais ce que tu veux. »
« J’ai besoin. » => « Je veux. »
« C’est ton choix. » => « Je n’en n’ai aucune idée, donc décide et je prendrais la demi-responsabilité. »
« Fais ce que tu veux. » => « Je vais m’allonger sur le sofa et dormir. »
« Il faut qu’on parle. » => « Je doit me plaindre de quelque chose. »
« Bien sur, vas-y. » => « Je ne veux pas que tu y ailles, mais je l’utiliserai lors de notre prochaine dispute pour te montrer combien je te supporte. »
« J’ai faim. » => 1 ) « Fais-moi à manger. » => 2 ) « Arrêtes ce que tu fais, récupères tes derniers francs, va au supermarché, ramènes ce qu’il faut pour moi et mes potes, reviens, fais la cuisine, et pendant que tu y es passe-moi une bière. Je me fiche de savoir si que ce que tu fais est important. »
« Je ne suis pas en colère. » => « Bien sur que je suis en colère, mais seul un imbécile l’admettrait. »
« Tu es si … féminine. » => « Tu fais la cuisine, le linge, les fenêtres ? »
« Je me sens romantique. » => « Il n’y a pas de foot ce soir ce soir. »
« Je ne suis pas émotif ! » => « Je perds mes cheveux ! »
« Sois romantique, éteins la lumière. » => « Des bouteilles de bières, où ça ? »
« Cette salle a manger est tellement incommode. » => « Je ne peut pas voir la télé d’ici. »
« La voiture a un problème. » => « Je veux un plus gros moteur pour faire joujou avec. »
« Le lave-vaisselle est plein. » => « Je ne sais plus ou cacher la vaisselle sale. »
« La télécommande est cassée. » => « Amène-toi et change de chaîne pour moi. »
« Mes outils sont obsolètes. » => « Je ne sais pas comment les utiliser, et la pub dit que même un singe peut utiliser les nouveaux. »
« J’ai besoin de nouvelles chaussures. » => « La paire que j’ai depuis la fac est fichue. »
« Je n’ai pas besoin de demander ou on est. Je le sais très bien. Je prends juste une route touristique. » => « P…! Mais où je suis ?! »
« Tu veux te blottir contre moi ? » => « J’ai remarqué que tu t’endormais. »
« Tu m’aimes ? » => « J’ai fait quelque chose de stupide et tu pourrais le découvrir. »
« Tu m’aimes vraiment ? » => « J’ai fait quelque chose de stupide et tu va le découvrir tôt ou tard. »
« Dis-moi combien tu m’aimes. » => « J’ai fait quelque chose de réellement stupide et quelqu’un va bientôt te le dire. »
En réponse à « Qu’est-ce qui ne va pas ? » « Rien. » => « Je suis au milieu d’un fantasme. Tire-toi. »
« Tout. » => « Une superbe fille de 18 ans m’a appelé Monsieur. »
« Rien, réellement. » => « C’est juste que je suis un tel co…ard. »
« Je ne veux pas en parler. » => « Je suis impuissant. »