blague funérailles

Moi, moi, moi…

Lors d’un enterrement de famille, on constata qu’il ne restait plus que deux places dans le caveau. Les trois grands-tantes commençaient à se chipoter :
– Moi, je veux être enterrée ici, dit l’une d’elles.
– Il est hors de question que j’aille ailleurs, déclara la deuxième.

C’est alors que l’aînée, un petit sourire aux lèvres, dit :
– Première arrivée, première servie !

La blague des frères infernaux

C’est l’histoire de deux gars vraiment toxiques. De vrais pestes qui ne pensent qu’à faire des ennuis aux autres habitants du village !

Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l’heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.

Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
– Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher… Mais il y a une condition : Pendant l’office, il vous faudra dire que mon frère « était un saint ».

Le curé lui dit que c’est d’accord, et il part encaisser le chèque le jour même.

Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
« Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »

Et le laïus continue quelques minutes, jusqu’à ce que le curé conclut :
« …Mais comparé à son frère, cet homme était un saint ! »

Personne n’est parfait…

dessin d'actualité humoristique des funérailles d’Ingvar Kamprad, fondateur d'IKEA
28 janvier 2018 – Personne n’est parfait…

Décès d’Ingvar Kamprad, fondateur d’IKEA, icône de la classe moyenne suédoise et, par ailleurs, radin et ancien sympathisant nazi…
« Toujours les meilleurs qui s’en vont. »
(Dessin du 28 janvier 2018)

Les tantes du mariage

Mes tantes avaient toujours l’habitude de s’approcher de moi lors des mariages et de me dire en me pinçant les hanches : « Tu seras le prochain ». Elles arrêtèrent après que j’ai commencé à leur faire la même chose aux funérailles.