Dans une famille de paysans, le père dit à son fils, jeune marié, avant la nuit de noces : – Ecoute, si jamais tu as des problèmes tu peux toujours m’appeler !
Dans la nuit, alors que les jeunes mariés essayent de faire l’amour, la jeune femme devient nerveuse et s’approche du marié qui recule… et tombe par la fenêtre sur le tas de fumier.
A ce moment-là, il se souvient du conseil de son père et s’écrie : – Papa ! Papa !
Le père lui répond, de sa chambre : – Qu’est-ce qu’il y a, fiston ? – Papa, je suis dans la merde !
Une vieille dame de Paris a pris quelques jours de vacances dans le Cantal. Un jour ; elle se promène sur un chemin vicinal et qu’est-ce qu’elle voit au bord d’un champ d’épandage ? Un paysan en train de brasser le fumier. – Oooh ! Qu’est-ce que vous faites là, mon bon ? lui demande-t-elle. – Je suis en train de brasser du fumier pour le jardin de ma femme. Vous savez, le fumier ; c’est formidable. Vous en mettez rien qu’un peu sur votre plante et elle se dresse, elle reverdit et elle grimpe comme avant.
Là-dessus la vieille dame se penche, ramasse un peu de fumier ; le met dans son sac et dit : – C’est pour mon mari !
C’est l’histoire d’un gars pas très franchement évolué sexuellement. Par contre, il est très doué intellectuellement. Il habite à la campagne, dans une ferme. Il vient d’avoir son BAC. Son père, pour le récompenser de sa réussite décide de lui faire un cadeau. Le fils rentre à la maison.
Le père : « Mon fils, va voir dans ta chambre, je t’ai fait un cadeau que tu ne regretteras pas… »
Le fils monte alors dans sa chambre ou il y découvre une femme (en fait, une prostituée). La femme s’approche de lui, ferme la porte de la chambre et lance la clef hors de portée du jeune homme et lui dit : « Laisse-toi faire mon garçon, je serai très gentille avec toi. »
Pendant ce temps, le père a l’oreille rivé à la porte de la chambre car il veut connaître l’évolution de l’affaire… La femme commence donc à le déshabiller. Mais le jeune homme choqué commence à se rebiffer : « Madame, je ne veux pas perdre ma vertu de cette façon. »
Il s’approche donc de la fenêtre de sa chambre et dit : « Si vous approchez d’un pas de plus, je saute. »
Croyant au bluff, la femme s’approche, et cela provoque le saut du jeune homme. Celui-ci tombe alors dans le tas de fumier qui se trouve au pied de sa chambre et le jeune homme crie alors : « Papa, je suis dans la merde ! »
Le père, toujours l’oreille rivée à la porte : « Sacré fiston, je le savais doué, mais à ce point ! »
Un technocrate de Bruxelles passe ses vacances dans une ferme.
Le premier jour, le fermier lui demande de vider le tas de fumier du fond de la cour et de l’épandre sur le champ derrière la ferme … Lorsque le fermier revient le soir, le travail est fait, au grand étonnement du fermier.
Le deuxième jour, le fermier lui fait trier des pommes de terre en lui demandant de faire un tas avec les petites, un tas avec les grosses et de jeter les pourries. Lorsque le fermier revient le soir, rien n’est fait, il voit le technocrate tenant une pomme de terre moyenne dans la main en train de se demander si elle est petite ou grosse …
Moralité :
Un technocrate, pour remuer la merde, c’est bien, mais quand il s’agit de prendre une décision …
Ça se passe à la campagne. C’est le petit Toto qui joue dehors, dans la cour de la ferme, avec un gros tas de fumier. II est en train de faire un bonhomme de fumier. Tout à coup le curé vient à passer par là, lève le nez de son bréviaire et s’exclame : – Oh ! quelle odeur ! Mais que fais-tu là, mon petit Toto ? – Eh, je fais un curé ! – Oh ! Tu n’as pas honte ? Oh, alors ça ! Ça ne va pas se passer comme ça !
Là-dessus il y a un gendarme qui arrive et qui demande : – Ça va pas, monsieur le curé ? – Ben regardez-moi ce petit mal élevé : il est en train de jouer avec le tas de fumier, et il m’a dit qu’il faisait un curé.
Alors le petit Toto lui répond : – Vous fâchez pas ! Je voulais d’abord faire un gendarme, mais j’avais pas assez de merde !