blague François Mitterrand

La punition de Mitterrand

Lorsque Mitterrand est mort, Saint Pierre l’accueille en lui disant :
– M. Mitterrand, vous avez beaucoup péché (adultère, etc…), et il va falloir que vous soyez puni. Comme vous avez été Président nous allons vous octroyer une grâce, et vous laisser choisir entre trois punitions.

Mitterrand demande à voir la première : C’est une marmite ou l’on fait cuire un damné, piqué par des diables.

Mitterrand demande à voir la deuxième C’est un pilori, et tous ses vieux ennemis politiques (Rocard, Chirac, Jospin, VGE, etc…) lui jettent des pommes pourries.

Il demande a voire la troisième et découvre Marchais en train d’enculer Brigitte Bardot. Il pense : « Bon Brigitte a bien vieilli et elle a des rides partout, , mais, enfin, bon…. » et il demande la troisième.

Une voix tombe du ciel et dit :
– Faites partir Brigitte, c’est au tour de François…

Les chats socialistes

Ça se passe en 1981 juste après l’élection de Mitterrand. Et Pierre Maurois, le nouveau premier ministre et maire de Lille va visiter une école à Roubaix.

Donc, la maîtresse, pour ne pas être prise au dépourvu, demande à tous les élèves de dire ce qu’ils voudraient raconter à Pierre Maurois.

Vient le tour de Cafouniet’ (personnage mythique de Denain dans le Nord) :
Cafouniet’ : « moi, m’dame, ma chatte vient d’avoir 5 petits, et ils sont tous socialistes ! »
La maîtresse : « Ah, très bien, ça va sûrement intéresser M. Maurois… »

Le jour tant attendu, Pierre Maurois est dans la classe, et il interroge les petits. Arrive le tour de Cafouniet’ :
Cafouniet’ : « Moi m’sieur, j’ai 5 petits chats, dont 3 socialistes… »
La maîtresse : « Mais, tu avais dit qu’il y en avait 5. »
Cafouniet’ : « Oui, mais il y en a 2 qui ont ouvert les yeux. »

La blague de Mitterrand et du roi des belges

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Ça se passe au temps de Mitterrand. Le roi des belges, excédé par les blagues françaises sur ses sujets, va voir le président français pour lui demander une faveur :

Baudouin :
– Salut Mitterrand ; dis vous pourriez pas une fois faire une grosse connerie qu’on puisse se moquer de vous fieu ?

Mitterrand :
– Bon d’accord. et il décide de construire un superbe pont dans le désert.

Sur ce, les belges se marrent comme des fous de la connerie française. Au bout d’un an, le roi revient voit Mitterrand et lui dit :
– Bon allez fieu, on a assez rit, tu peux le détruire ton pont.
– C’est pas possible.
– Ah bon, pourquoi fieu ?
– Faut attendre que les pêcheurs belges en descendent !