blague fortune
La blague de l’argent enterré

Il était une fois un homme très avare qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent. Il aimait l’argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme :
– Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort.
Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui. Peu de temps après, il mourut. Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille et de son épouse toute de noir vêtue.
Comme la cérémonie se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en terre, l’épouse dit :
– Attendez une minute !
Elle prit alors une boite qu’elle déposa dans le cercueil avec son époux. Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse. Un ami lui dit alors :
– J’espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t’avait demandé ?
– Bien sûr, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil.
Et elle ajouta :
– Je lui ai fait un chèque…
La blague de la pute fortunée

À New York, dans son bar favori, un type aperçoit une bombe entrer au bras d’un mec d’une laideur inénarrable. Il demande au barman s’il connaît la fille et est surpris d’apprendre que c’est une prostituée.
Il la regarde tout le reste de la soirée, en se disant qu’il pourrait s’offrir une telle beauté. Il revient le lendemain. La gueuse est là, seule. Il prend son courage à deux mains et l’aborde.
– Est-ce vrai que vous êtes une prostituée ?
– Bien sûr, mon grand loup. Que puis-je pour toi ?
– Ben, je ne sais pas. Combien vous prenez ?
– 500 euros pour une branlette.
– 500 la branlette ? Mais ça ne va pas ?!
– Tu vois, la Ferrari garée devant le bar ?
Le type zieute et voit une Ferrari rouge rutilante.
– J’ai payé cette Ferrari en liquide, avec l’argent que j’ai gagné de mes branlettes et crois-moi, ça les vaut.
Le type réfléchit un peu et se décide.
Ils partent ensemble et le type reçoit la plus phénoménale branlette qui soit, mieux qu’une nuit complète d’amour : la plus extraordinaire expérience de sa misérable vie.
La nuit suivante, il l’attend avec impatience au bar et, quand elle entre, l’aborde immédiatement.
– La nuit dernière était incroyable !
– Bien sûr que c’était incroyable et encore, tu n’as pas goûté à mes pipes…
– Et c’est combien ?
– 1000 euros.
– 1000 euros, c’est impossible !
– Tu vois l’immeuble grand standing, en face de la rue ?
Le type regard l’immeuble de 12 étages.
– J’ai payé cet immeuble en liquide avec l’argent que j’ai gagné de mes pipes et crois-moi, ça les vaut.
Basé sur son expérience de la veille, le type se doit d’essayer.
Il part avec elle et, une fois encore, il n’est pas déçu. Il manque même de s’évanouir de plaisir.
La nuit suivante, il peut à peine se contenir, tant il est impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :
– Je suis accro ! T’es la meilleure ! Dis-moi, combien ça me coûte pour ta chatte ?
Elle le prend par la main, l’emmène sur le trottoir et lui montre le bas de la rue où, entre deux immeubles, il peut entrapercevoir Manhattan.
– Tu vois cette île ?
– Non, arrête tes conneries ! Tu veux quand même pas dire que…
Elle hoche de la tête :
– Oui oui, si j’avais une chatte, Manhattan m’appartiendrait.