Tout feu, tout faf : la censure « de progrès »
À Barcelone, l’école Tàber retire de sa bibliothèque 200 livres jugés « sexistes » ou « toxiques ». Parmi eux, les contes des frères Grimm, les contes de Perrault et la légende de Saint-Georges.

Censeur : « Par contre, on va garder Fahrenheit 451. »
(Dessin du 9 mai 2019)
Après la « discrimination positive », la « Blitzkrieg positive » et en attendant « l’apartheid positif », le « racisme progressiste » et le « fascisme fun », voilà la « censure éclairée » où comment des individus « progressistes » s’érigent en censeurs « éclairés » et s’arrogent le droit de dire aux autres ce qu’il faut lire ou ne pas lire. Bien entendu, le fascisme, c’est toujours les autres.