blague facteur
La blague de la retraite du facteur
L’autre jour, c’était la dernière tournée du facteur avant son départ à la retraite : trente ans qu’il nous distribuait le courrier par tous les temps, et toujours avec le sourire. Alors tous les gens du quartier s’étaient passé le mot, et tous avaient décidé de « marquer le coup ».
Lorsqu’il arriva à la première maison, il fut congratulé par les parents et les enfants. On lui offrit une coupe de champagne et une petite enveloppe.
A la deuxième maison, ils lui offrirent une boite de cigares.
A la troisième maison, c’était un billet pour un concert de Madonna.
A la quatrième maison, c’est une ravissante jeune femme blonde en chemise de nuit transparente qui l’attendait : elle le prit par la main et l’emmena dans la chambre où ils firent l’amour passionnément…
Au bout d’un moment, le facteur qui était resté un fonctionnaire modèle, pensa qu’il était temps qu’il reprenne sa tournée. La blonde lui dit alors :
– Ne partez pas : je vous ai aussi préparé un bon petit déjeuner !
Et effectivement, sur la table de la cuisine l’attendaient du café, du chocolat, du lait, des croissants, des céréales, du jus d’orange, des œufs au bacon, etc. Ravi car son estomac criait famine après les galipettes qu’il venait de faire, notre homme en profita pour se régaler. Il allait enfin prendre congé quand il remarqua une pièce d’un euro dans la soucoupe de sa tasse de café :
– Ce que vous avez fait pour fêter mon départ est vraiment formidable, et je vous en remercie du fond du cœur… Mais je ne comprends pas bien ce que fait là cette pièce d’un euro ?
Alors la blonde répond :
– Hier soir, quand j’ai dit à mon mari, que c’était votre dernière tournée et qu’il serait bien de vous faire un cadeau, il m’a répondu : « Donne-lui un euro et qu’il aille se faire foutre ! »… Le petit déjeuner, c’était mon idée.
La blague du caniche agressif
C’est un vieux monsieur dont le caniche est très agressif et a la fâcheuse habitude d’attaquer tout le monde. Ses enfants lui conseillent depuis longtemps de le faire castrer afin de calmer son agressivité. Un beau jour, lassé de toute la frayeur et du stress que son chien créé autour de lui, le vieux monsieur prend rendez-vous chez le vétérinaire pour l’opération.
Le chien se voit donc amputé de ses deux testicules…
Deux semaines plus tard, alors que le vieux monsieur ouvre la porte au facteur qui venait de sonner, le roquet bondit et attaque le fonctionnaire en le mordant à la jambe. Aussitôt, son propriétaire intervient et l’expédie à son tapis d’un coup de pied dans le derrière.
Puis il s’excuse auprès du facteur :
– Je suis désolé de ce qui est arrivé. On m’avait dit que si je le faisais castrer, il cesserait d’attaquer tout le monde et serait plus calme. Je l’ai fait et ça n’a pas marché. Je ne sais plus quoi faire…
Le facteur lui répond :
– Vous auriez du lui faire retirer les dents au lieu de le faire castrer… Je savais bien quand il se précipitait vers moi que ce n’était pas pour me violer !
Un 69 très gore
C’est un gars qui dit à sa femme :
– Chérie, on se fait un petit 69 ?!
Elle répond :
– Ben, c’est que j’ai mes règles en ce moment… Mais si ça ne te fais rien, moi, je m’en fous.
Comme le gars en a vraiment envie, il s’y mettent subito, et ils sont en pleine action lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit.
La femme dit :
– Mets ton caleçon et va ouvrir : c’est le facteur qui apporte un colis de La Redoute !
Le gars :
– Mais je dois avoir du sang plein la figure…
– T’as qu’à lui dire que tu as mangé des tartines à la confiture de fraise, voilà tout.
Le gars va ouvrir et dit tout de suite au facteur :
– Je m’excuse mais j’étais en train de manger des tartines de confiture…
Et le postier :
– Je ne regardais pas la confiture autour de votre bouche, mais le Nutella que vous avez sur le front…
Comment bien planter des oignons
C’est un brave paysan qui est dans son jardin en train de se livrer à un travail très dur : planter les oignons.
Les oignons, si on ne les plante pas bien, pas assez profond, pas au bon endroit, c’est foutu, ils ne prennent pas. Alors le paysan s’applique, très concentré sur son travail.
Et pendant ce temps-là, à la ferme, sa femme est en train de se faire culbuter par le facteur. Elle crie :
– Aaaaah ! Oh ouiiiii ! Vas-y ! Pousse ! Enfonce encore ! Plus profond !
Elle crie si fort que le paysan finit par l’entendre et lui dit :
– Eh, je sais comment faut faire ! Occupe-toi de ton cul !