En Écosse, une femme appelle son mari au téléphone : – Sean, il faut revenir tout de suite à la maison ; il y a des extraterrestres qui viennent de débarquer dans le salon ! Ils ont six bras et émettent des sons bizarres que je ne comprends pas. – J’arrive, dit le mari, tâche de les faire patienter. – Oh ! pas de problème, dit la femme, cela fait un quart d’heure qu’ils discutent avec ta cornemuse.
Un habitué est en train de boire sa bière tranquillement dans un bar, lorsqu’un extra-terrestre fait irruption dans la salle et vient s’installer à côté de lui.
Le gars ne réagit pas, cherchant à ne rien faire qui pourrait nuire à la paix intergalactique.
L’extra-terrestre commande alors un Martini, boit la moitié de son verre, et puis soudain, il lèche son unique doigt vert et vient le coller dans l’oreille de son voisin de bar.
L’habitué s’irrite un peu de la chose, mais toujours par égards pour la paix interstellaire, il ne dit rien. Le martien retire alors son doigt, finit son verre, et commande un nouveau Martini. Quand il en est à la moitié, une nouvelle fois, il se lèche le doigt et s’en va ensuite l’enfoncer bien profondément dans l’oreille de son voisin de bar.
L’habitué, irrité, lance : – Hé mon gars ! Ça commence à bien faire ces histoires de doigt dans l’oreille, hein !
Mais les choses sont comme elles sont, et arrivé au milieu de son troisième verre, l’alien trempe son unique doigt dans le Martini, se l’introduit dans ce qui lui sert de bouche et CLAC, il l’enfonce en plein dans l’oreille du gars.
Cette fois, l’habitué oublie met de côté ses bonnes manières et essayant d’être aussi impressionnable que possible, il hurle : – Ecoute résidu galactique, si tu fais ça une fois de plus, je te t’arrache les couilles !
Sans manifester la moindre réaction, l’extra-terrestre commande un quatrième Martini… et rebelote : après s’être bien léché le doigt consciencieusement, il flanque son doigt dans l’oreille du gars.
L’habitué, hors de lui, rugissant un flot d’insanités (que ma maman m’interdit de reproduire ici) plaque sa main dans l’entrejambe de l’alien dans le but de mettre sa menace à exécution. Mais, il n’y a rien ! Pas la moindre zigounette, ni même la moindre trace de zigounette…
L’habitué est un petit peu perdu : – Mon gars, si t’as pas de couille, avec quoi tu baises ? … Et l’alien, avec un sourire malicieux, se lèche le doigt et l’introduit dans l’oreille du gars…
Deux aliens explorateurs rentrent sur leur planète après avoir passé un bref séjour sur notre planète Terre. Le commandant de la mission les invite au debriefing : – Alors, y a-t-il des formes de vie intelligentes sur Terre ? – Oui chef, il y a une espèce que l’on peut qualifier de « intelligente »… Et puis il y a aussi beaucoup de créatures à testicules !
Dans un bar paumé à la périphérie de la ville, un chauffeur de taxi prend un verre avant de rentrer à la maison. Soudain, un extra-terrestre vient s’installer sur le tabouret d’à côté et instantanément, il lui appuie l’un de ses trois doigts sur la joue en faisant « DZZZZZZT ».
Au bout de quelques secondes, le chauffeur de taxi lui dit : – Mon gars, si tu refais ça une fois de plus, je t’arrache la bite et je te coupe les couilles !
Mais l’alien reste insensible aux menaces, et une fois de plus, il commence à dzzzzziter la joue du terrien ! Alors le chauffeur de taxi fou de rage saute de son tabouret, arrache les vêtements du martien et … ne trouve rien, pas le moindre appareil sexuel ! – Beuh, comment est-ce que vous faites pour vous reproduire ?
Et là le martien fait « DZZZZZZT » avec son doigt sur la joue du chauffeur de taxi.
Il est bientôt minuit, et la tenancière de ce café d’un petit bled paumé en pleine campagne commence à en avoir marre de ce dernier client qui l’empêche d’aller se coucher. Il est assez intrigant d’ailleurs, ce client : toujours à la dévisager et à scruter le moindre de ses gestes.
Finalement, le gars commence à lui parler : – Vous êtes la plus jolie chose qu’il m’ait jamais été donné de voir. J’espère que cela ne vous gène pas trop si je continue à vous regarder.
La jeune femme derrière son bar rougit un peu et lui répond de ne pas la regarder si intensément, d’autant plus qu’elle « ne voit pas ce qu’elle a de spécial par rapport aux autres. »
Alors le gars reprend la parole : – Eh bien, en fait, je suis très très loin de ma planète. J’ai été envoyé ici en guise d’éclaireur. J’ai bien observé les habitants, leurs coutumes et le reste, et malheureusement, ce soir, je vais devoir repartir sur Zorglub24. Vraiment, je serai ravi si vous consentiez à me laisser vous regarder encore, ainsi je quitterai cette Terre avec un excellent souvenir.
La tenancière, attendrie, consent alors à ce que le gars continue à la dévisager, bien qu’elle trouve son petit speech délirant.
Se sentant en pays conquis, le Zorglubien continue : – C’est étrange vous savez, mais je suis sur Terre depuis un an maintenant, et durant cette période, je n’ai jamais pu contempler pour de vrai les seins d’une femme. Voulez-vous bien me les montrer ? Ainsi quand je retrouverai les copains sur Zorglub24, je leur raconterai toutes les beautés que les Terriennes peuvent receler.
Après un temps de réflexion, la jeune femme consent à déboutonner le haut de son chemisier et dégrafant son soutien-gorge, elle exhibe sa poitrine généreuse. – Oh mon Dieu, c’est magnifique. Vous ne pouvez pas savoir ce que ça représente pour moi.
Et, alors qu’elle se reboutonne, il renchérit : – S’il vous plaît, de grâce, laissez moi toucher ces deux chefs-d’œuvre.
Et la femme que toute cette histoire commence à exciter le laisse faire.
Evidemment, cette palpation extra-terrestre a tôt fait d’éveiller les sens de la dame, et lorsque le gars de Zorglub24 lui demande si elle veut bien consentir à faire l’amour avec lui, elle accepte.
À sa grande surprise, le client place alors son index au beau milieu du front de la jeune femme et appuie fermement. Au même moment, la femme voit alors le regard du gars partir dans le vague, et rapidement, l’extra-terrestre se met à gémir de plaisir « Aah, ahh, aaaahhhhh. »
Le gars retire alors son index du front de la jeune femme, qui, étonnée par ce qu’elle vient de vivre lui demande s’il aimerait recommencer.
Alors le gars regarde son index tout recourbé et lui répond : – Oui, j’aimerai bien, mais il faudra attendre un petit peu.