blague épicerie

Le Belge et la répression des fraudes

Un Belge écrit au Service de la répression des fraudes :
– C’est un scandale : j’ai acheté hier, à l’épicerie Beulemans, 15 Avenue du roi Albert, un morceau d’emmental. Et l’épicier, avec un aplomb infernal, a pesé les trous avec le fromage, en les comptant au même prix.

L’évolution du téléphone

– J’ai connu, dans ma vie, plusieurs étapes, avec le téléphone, raconte un retraité. Au début de ma carrière, j’allais téléphoner à l’épicerie en bas de chez moi. C’était par utilité. Puis, j’ai eu un appareil à moi. C’était le luxe. Ensuite, j’ai dirigé un bureau où il y avait vingt téléphones. C’était l’opulence. Et, maintenant que je me suis retiré dans un petit village de Lozère, lorsque quelqu’un a vraiment besoin de me joindre, il appelle à l’épicerie-boulangerie-buvette où l’on me fait la commission quand j’y vais chercher mon pain. Et là, c’est vraiment le paradis.

Le concert de Stéphanie de Monaco

Ça se passe à Monaco, dans une épicerie ; il y a une jeune fille qui entre avec des lunettes noires et qui demande :
– Il vous reste des tomates ?

La marchande dit :
– Oui, bien sûr.
– Je voudrais acheter tout le stock.
– Tout le stock de tomates ?
– Oui, tout le stock !
– Mais pourquoi ?
– Mais parce que ce soir, je vais au concert de Stéphanie de Monaco.

L’épicière fait :
– Oh, écoutez, ce n’est pas gentil !
– Non, mais c’est prudent : Stéphanie de Monaco, c’est moi !

Le chinois qui voulais une boîte de Canigou

Un chinois entre dans une petite épicerie de quartier. Il s’adresse à la patronne derrière son comptoir:
– Bonjoul Madame. Je voudlais une boite de Canigou…
– Je vous reconnais, vous êtes du restaurant chinois en face. Qu’est-ce qui me prouve que vous n’allez pas filer le Canigou à vos clients ?! Apportez-moi le chien et je vous vends la boite !

Le chinois, bien gentil, ne se démonte pas et revient cinq minutes plus tard avec son petit chien sous le bras. Alors la mégère lui donne sa boite de Canigou.

Mais le chinois dit :
– J’oubliais qu’il me faut aussi une boite de Ron-Ron…

La mégère, toujours aussi fun lui demande encore d’amener son chat, sans ça, pas de Ron-Ron.

Le chinois, d’un calme Olympien repart chez lui et revient tout de suite avec son chat, ce qui lui permet d’obtenir la boite de Ron-Ron. Et puis il rentre chez lui, dans son restau, en face. Cinq minutes plus tard, voilà le chinois de retour dans l’épicerie. Cette fois-ci, il tient un bol et deux baguettes dans ses mains qu’il tend à l’épicière en lui disant :
– C’est pour vous madame.

L’épicière commence à goûter :
– C’est gentil, mais attendez… Votre truc ça me rappelle quelque chose de chez nous… Hmmm… Ouèèk mais c’est de la merde !

Et le chinois répond :
– Oui, je voudlais des rouleaux de papier-cul !