blague épicerie

La blague de la constipation religieuse

Une religieuse entre dans une épicerie et demande une bouteille d’armagnac.
– Je ne sais pas si je dois vendre de l’alcool à une religieuse, objecte le commerçant qui est très catholique.
– Mais, réplique la sœur, c’est le seul moyen de guérir la constipation de notre mère supérieure.
– Effectivement, admet l’épicier, c’est un cas de force majeure.

Il tend à la nonne une bouteille soigneusement enveloppée dans un sac de papier et lui recommande de ne rien dire à personne.

Une heure plus tard, le brave homme baisse son rideau de fer et rentre chez lui. En chemin, il aperçoit la religieuse ivre morte sur un banc public, la bouteille d’armagnac vide à la main. Il s’approche.
– C’est du joli, ma sœur ! Vous m’aviez dit que cette bouteille était destinée à soigner la constipation de la mère supérieure. Quand je pense que je vous ai crue…
– Mais, hips ! c’était vrai, balbutie la religieuse. Quand elle… hips ! Quand elle va me voir rentrer… hips ! vous pouvez être sûr que ça va chier.

Grâce au KGB

L’histoire se passe aux temps glorieux de l’URSS. Dans une épicerie de Varsovie, tout le monde fait la queue. Une dame demande à l’épicier :
– Avez-vous du sel ?
– Grâce à Dieu, oui !

La cliente suivante demande :
– Avez-vous des œufs ?
– Grâce à Dieu, oui !

Un membre du K.G.B. qui passait par là et qui a entendu toutes les conversations, interroge l’épicier :
– Pourquoi répétez-vous toujours : « Grâce à Dieu » ?
– Pour rien, excusez-moi.

Quelques instants plus tard, une cliente demande dans le magasin :
– Avez-vous du beurre ?
– Non, Madame. Il n’y en a plus… grâce au parti !

Vertige épicier

Une femme entre dans une épicerie. Elle sent la tête qui lui tourne et elle s’assied sur une caisse d’œufs.

Elle se passe la main sur le front et elle dit :
– Ça ne va pas bien du tout ! Je dois couver quelque chose !

Les crétins du Japon

En vacances au Japon, une Espagnole se trouve dans une épicerie pour y acheter de l’ail, le mot espagnol « Ajo » surgit inopinément, ce qui donne littéralement :
– Avez-vous des crétins dans le coin ?

Sans marquer le moindre étonnement, la marchande appelle illico son mari :
– Chéri, c’est pour toi !

Les courses au temps des francs

C’est papi Mohamed qui explique à ses petits-enfants :
« Quand jitais pitit, mon papa mi donnait 10 francs et j’allais à l’ipicerie di coin… À l’ipoque avec 10 francs ti repartais avec 1 kilo de beurre, 1 litre di lait, 3 kilo di pommes di terre, 1 kilo de froumage, 2 kilos di soucisses di motons, 1 sac di thé, 1 kilo di sucre, di pain, di œufs y di bonbons ! Mais maintenant ci plus possible ! Y’a trop di caméras… »