Avant la révolution, dans les boucheries russes, sur l’enseigne, il y avait écrit : « Igor Vassilievitch » ou « Fédor Boukrine », et à l’intérieur il y avait de la viande.
Avec le communisme, sur les enseignes de boucherie, on pouvait lire « Viande » et à l’intérieur, il y avait Igor Vassilievitch ou Fédor Boukrine.
Un pauvre vagabond, qui marche depuis des heures, aperçoit sur le bord de la route une auberge à l’enseigne : « Georges et le dragon ». Il pousse la porte et demande à la patronne : – Vous n’auriez pas quelque chose à manger ? – Non ! – Des vieux vêtements dont votre mari ne se sert plus ? – Non ! – Un verre d’eau ? – Non ! – Je peux utiliser vos toilettes ? – Non ! – Une dernière question… – Quoi encore ? – Est-ce que je pourrais parler à Georges ?
Un monsieur roule en voiture, Il est sur une route nationale et il a faim ; il voit un restaurant, il se dit « Tiens, je vais m’arrêter ». Genre un petit relais routier, quoi, pour casser une petite dalle, un petit steak, un machin.
Il rentre dans le restaurant et il n’y a personne. Alors il s’approche du comptoir, il tape : – Oh, Oh ! Il y a quelqu’un, là ? Personne ne répond. Alors II se penche, il regarde derrière le comptoir, et qu’est-ce qu’il voit ? Le patron et la serveuse en train de s’envoyer en l’air. – Je suis vraiment désolé, excusez-moi !
Le patron lui fait : – Bah, c’est pas grave, c’est pas grave ! Allez en cuisine, on vous servira un truc vite fait.
Alors le mec rentre dans la cuisine, il n’y a personne. Il fait : – Oh, oh ! Il y a quelqu’un ?
Il entend un bruit de casseroles et de fourneaux, il se penche et qu’est-ce qu’il voit ? Le cuisinier et une autre serveuse en train de s’envoyer en l’air. Et il refait : – Je suis vraiment désolé, excusez-moi !
Seulement il se dit je ne peux pas rester là, ce n’est vraiment pas possible. Il sort, et qu’est-ce qu’il voit sur le trottoir ? Deux chiens en train de s’envoyer en l’air. Le mec ne se démonte pas, il rentre dans le resto et il crie : – Oh les mecs ! Y’a votre enseigne qui vient de tomber !