blague emprunt
Chacun son métier !
Simon vend des frites dans la rue. Il reçoit la visite de Moshé, qu’il n’a pas vu depuis quelques années.
– Alors Simon, ça va ?
– Oui Moshé ça va.
– Ah ! Je suis content pour toi, Simon !
– Merci Moshé.
– Et tu ne me demandes pas comment ça va, moi ?
– Si je te le demande. Moshé, comment ça va ?
– Eh bien Simon, ça va pas bien. Je suis ruiné, je n’ai plus de quoi manger, ni payer mon loyer. Les huissiers sont chez moi tous les jours, ma femme veut se suicider.
– Ah c’est bien triste Moshé.
– Et toi, ton commerce, ça marche bien, Simon ?
– Oh tu sais, comme ci comme ça.
– Simon, on se connaît depuis au moins vingt ans, non ?
– Eh bien, depuis notre Bar Mitsva (communion, à l’âge de treize ans), j’ai trente-trois ans, ça fait vingt ans en effet.
– Simon, au nom de notre amitié, est-ce que tu pourrais me prêter cent euros ?
– Ah Moshé, ça aurait été avec plaisir, mais je ne peux pas, je n’ai pas le droit.
– Comment ça ?
– Tu vois la banque en face ? Nous avons passé un contrat. Le banquier m’a promis qu’il ne vendrait jamais de frites. Et je lui ai promis que je ne prêterais jamais d’argent.
L’écossais et l’anglais à la banque
Deux amis, un écossais et un anglais sont au guichet d’une banque lorsqu’un gangster pénètre dans l’établissement en menaçant les clients et le guichetier de son revolver.
Tout de suite l’écossais met la main à sa poche et dit à son pote anglais :
– Tiens… Voilà les 100 livres que je t’avais empruntées.
Le pique-assiette
– Comment se fait-il, demande une femme à son mari, qu’on ne voit plus jamais ton ami François, cette espèce de pique-assiette qui venait régulièrement nous casser les pieds et se faire inviter à dîner ?
– Figure-toi qu’il y a deux mois, à force de supplications, il a réussi à ce que je lui prête 100 euros. Et, depuis, il évite soigneusement de me rencontrer. Je ne crois pas avoir fait, un jour, un placement aussi avantageux.