blague employé

La blague du rapport sur l’employé

Monsieur le Chef du personnel,

Voici le rapport que vous m’avez demandé sur M. Dupont.
Je vous serais reconnaissant d’en accuser réception.
Il faut signaler que M. Dupont est toujours en train de
travailler dans l’intérêt de la compagnie sans jamais
passer son temps au téléphone pour des motifs personnels.

Quelque soit le jour de l’année, il se présente toujours en
avance et n’a jamais chercher une excuse pour arriver en
retard. Autre remarque importante, jamais M. Dupont ne
refuse son assistance à ses collègues et, toujours, il
finit son travail dans les délais.

Tous les jours, il consacre plusieurs heures à des
réflexions sur nos stratégies commerciales, évitant les
pauses cafés injustifiées. Il montre une grande habileté à
rédiger des mémos de qualité, ce qui l’empêche souvent de
quitter son poste. Je vous recommande ainsi qu’il soit
considéré comme un exemple, l’opposé de son prédécesseur
licencié à l’automne. M. Dupont est le type-même de l’employé
modèle ; depuis trois mois, il a su se rendre vraiment in-
dispensable.

Veuillez agréer l’expression de mes meilleurs sentiments.

Second rapport (2 heures après)

Monsieur le Chef du personnel,

Monsieur Dupont regardant par dessus mon épaule pendant la rédaction de mon rapport précédent, je vous recommande de le relire, mais en sautant une ligne sur deux.

L’erreur de numéro

Un employé d’une grande entreprise prend le téléphone et dit :
– Allô ma poule ! Lève ton joli petit cul et monte-moi un café et un croissant, et plus vite que ça ma belle !

De l’autre côté du téléphone une voix très masculine répond :
– Abruti, tu t’es trompé de numéro ! Sais-tu à qui tu parles ? Au Directeur Général !

Et l’employé lui dit :
– Et toi, enfoiré, tu sais à qui tu parles ?

Le directeur rétorque :
– Non !

Et l’employé répond :
– OUF !
et il raccroche ..

Le tremblement professionnel

Un employé de la voirie rentre chez lui, tout agité, après avoir manié, durant la journée entière, un marteau-piqueur.
– N’arrête surtout pas de trembler, lui dit sa femme, ce soir, à la télé, il y a un bon film d’horreur.

Une augmentation sexuellement acceptée

Un employé de bureau, qui s’était violemment pincé le doigt en manœuvrant la photocopieuse, avait été autorisé, par son chef de service, à regagner son domicile, en plein milieu de l’après-midi. Voulant en faire la surprise à sa femme, il tourne doucement sa clé dans la serrure et traverse à pas de loup l’appartement désert. Enfin, il arrive à la chambre à coucher. Il ouvre la porte et voit son épouse faisant une partie de jambes en l’air avec son propre directeur.
– Mais alors, patron, balbutie-t-il, épanoui, est-ce que cela signifie que vous avez décidé de répondre favorablement à ma demande d’augmentation ?