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Les mots fléchés du candidat

À un responsable du personnel :
– Comment sélectionnez-vous les candidats ?
– Je leur propose un test simple, des « mots fléchés », et je les classe en quatre catégories. Il y a celui qui le refuse, ses connaissances sont insuffisantes, il est éliminé. Celui qui s’exécute avec une gomme et un crayon, doute de lui, il est également écarté. Le candidat de la troisième catégorie attaque ce jeu au stylo, il est sûr de lui, il est intéressant mais il subsiste un doute : où pratique- t-il ce passe-temps ? À la maison ? Sur son lieu de travail ? Il ne fait pas l’affaire.
– C’est donc le candidat de la dernière catégorie qui est retenu.
– Exactement ! C’est celui qui me regarde dans les yeux avec cette réplique : je suis venu vous voir pour travailler et non pour m’amuser !

Le patron étroit

Au bureau, la nouvelle employée demande à sa collègue de travail :
– Comment est le patron ?
– Vous verrez, il est assez étroit d’esprit.
– C’est-à-dire ?
– Eh bien, par exemple, il prétend que les mots ne peuvent s’écrire que d’une seule façon.

Les instructions du chef

Une nouvelle secrétaire vient d’être engagée. Le directeur n’arrive au bureau qu’à onze heures et lui demande :
– Le chef de service vous a-t-il bien donné des instructions pour la journée ?
– Oui, monsieur, il a dit que je le réveille dès que vous arriverez.

Le comptable des Balkany

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Patrick Balkany veut embaucher un nouvel expert-comptable. Il en reçoit un premier :
– Deux et deux, ça fait combien ? lui demande- t-il.
– Quatre, monsieur Balkany !
– Viré ! lui répond Balkany.

Balkany en reçoit un deuxième :
– Deux et deux, ça fait combien ?
– (Silence)… Quatre !
– Viré ! lui répond à nouveau Balkany.

Au troisième, il commence à perdre patience :
– Deux et deux, ça fait combien ?

Le gars ferme la porte, jette un œil par la fenêtre, fixe Balkany et lui lance :
– Vous voulez que ça fasse combien ?
Et Balkany l’embauche.

Le réverbère clignotant

Mon voisin téléphona à la mairie pour signaler le mauvais fonctionnement d’un réverbère devant chez lui.
– La réparation ne devrait pas prendre longtemps, ajouta-t-il, car la lumière revient dès que je donne un coup de pied au poteau.
– Je ne sais pas quand on pourra envoyer une équipe sur place, répond l’employé. Mais dites-moi, si vous acceptez de faire ça tous les soirs, je pourrais obtenir qu’on vous embauche.