blague embauche
L’embauche du chauffeur de bus scolaire
À l’homme, qui se propose pour être chauffeur d’un car scolaire, le recruteur explique :
– Vous bénéficiez d’une prime d’engagement de 1000 euros. – C’est un peu comme à la Légion, dit, en riant, le candidat.
– Ouais. Et, à ce propos, quand vous l’aurez conduit pendant huit jours, votre car, c’est là que vous regretterez de ne pas vous y être engagé, à la Légion.
La blague gore de l’apprenti des Pompes Funèbres
Ils viennent d’embaucher un nouvel apprenti aux Pompes Funèbres.
Celui-ci est en train de préparer un cadavre lorsqu’il appelle un employé plus ancien que lui dans le boulot :
– Hé ! Regarde ma morte : Elle a une crevette à la place du sexe !
Le préparateur plus ancien dans le métier vient voir ce que veut lui montrer le jeunot et dit :
– C’est pas une crevette, espèce de débile ; c’est son clitoris !
Alors le plus jeune reprend :
– Son clitoris ? Vraiment ? Pourtant je t’assure que ça a le goût de la crevette !
L’aristocrate et le domestique au trois défauts
C’est un aristocrate qui a besoin d’engager un domestique. Il téléphone tout simplement à l’Agence nationale pour l’emploi et on lui recommande un monsieur très bien, Horace. Mais histoire de vérifier ses références, il téléphone à son ancien employeur :
– Je vous téléphone à propos d’un certain Horace qui aurait été à votre service pendant des années…
– Oh oui, il est très bien ! Il est parfait ! Il a juste trois défauts…
– Ah bon, et lesquels ?
– Il a toujours les ongles sales, figurez-vous, ce qui vous l’avouerez est tout de même un peu gênant. Surtout quand on reçoit. Ensuite, il boit, il boit énormément, et même pendant le service ! II boit comme un trou ! Enfin, je dois vous prévenir, ce n’est pas tout: il est… comment dirais-je… il est un petit peu pédé, voyez-vous ! Mais pour le reste, je vous assure, il est vraiment très bien !
Alors notre aristocrate se laisse convaincre et téléphone à Horace pour le convoquer :
– Voilà, sur la recommandation de votre dernier employeur, je vous engage. Seulement voilà, trois petites observations : tous les matins je procéderai à l’inspection de vos ongles : vous me les montrerez pour que je puisse vérifier leur hygiène. S’ils ne sont pas propres, gare à vous !
– C’est entendu, Monsieur… Et après ?
– Deuxième observation, si vous voulez boire un petit coup, vous me demanderez : c’est moi qui garde les clés de la cave. Si vous avez soif vous me le dites, je vous ouvrirai, je vous servirai et puis je refermerai.
– Très bien, Monsieur. Et vous aviez une troisième observation ?
– Non, finalement Horace, pas de troisième observation… Ce sera tout, mon amour !