blague embauche

La blague du prénom au travail

Dans une grande entreprise, le directeur reçoit un nouvel embauché :
– Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
– Thomas et vous ?

Le directeur furieux s’écrie :
– Mon petit bonhomme je ne sais pas d’où vous arrivez, mais sachez que dans mon entreprise les gens s’appellent par leur nom ! Si vous vous appelez Thomas Tartempion, je vous appellerais « Tartempion », mais pas Thomas ! Me suis-je bien fait comprendre ?
– Oui monsieur.
– Alors c’est quoi votre nom de famille ?
– Mon nom est Monchéri.
– Très bien Thomas, au travail !

Un chien vraiment savant

Un artiste vient d’être engagé par le directeur d’un cirque pour son numéro avec son chien savant. Après avoir signé le contrat, l’artiste demande :
– Pouvez-vous me prêter votre portable ?
– Bien sûr, je vous en prie… Appelez qui vous voulez !
– Ce n’est pas pour moi, c’est Médor qui veut annoncer la bonne nouvelle à sa famille !

Le menteur diplômé

– Avez-vous des diplômes ? demande un petit patron à un homme qui veut se faire embaucher.
– Non, aucun, mais j’ai été couronné au tournoi des plus grands menteurs du pays.
– Voilà qui est très bon ! Cela vous servira pour vous en tirer sans avoir honte quand on vous posera la question : « Combien gagnez-vous chez ce radin ? »

Les cours de chant

Un homme chante avec passion dans sa douche lorsque retentit le carillon de la porte d’entrée. C’est ruisselant et drapé de sa robe de chambre qu’il va répondre à la porte de son appartement, où l’attendent le concierge et une dame à lunettes. Le concierge s’avance et dit, tout en désignant la dame :
– C’est mademoiselle Laviollette, votre professeur de chant.

L’homme, étonné, lui répond :
– Mais, je n’ai pas retenu les services de cette personne.
– Non, c’est votre voisin qui l’a engagée.

La sécurité de l’emploi

Après avoir connu cinq mises à pied successives en l’espace de quatre mois, un gars est engagé dans un entrepôt comme conducteur de chariot élévateur.

Il travaille depuis quelques jours à peine quand il perd le contrôle de l’engin qui va s’écraser au bas d’un quai de chargement. Son patron évalue les dégâts et lui déclare qu’il va devoir retenir 10% de son salaire mensuel pour payer les réparations.
– Et ça va coûter combien ? demande l’employé.
– Dans les 5000 euros.
– Super ! fait l’autre, soulagé. Je l’ai enfin, ma sécurité d’emploi !