blague domicile conjugal

La blague du quadra mou

Un quadragénaire encore vert part pour un séminaire pendant quelques jours. Le dernier soir, il rencontre au bar de l’hôtel une superbe créature à qui il offre un verre et qui accepte d’aller en boîte avec lui. Ils boivent, dansent, s’amusent, flirtent de plus en plus précisément et reviennent à l’hôtel.

Émerveillé, le type propose à la ravissante jeune femme de l’accompagner dans sa chambre et celle-ci accepte. L’instant suivant, ils se retrouvent tous deux enlacés sur le lit, entièrement nus. La jeune femme est superbe, mais le malheureux connaît pour la première fois de sa vie une panne totale…

Le lendemain soir, à la même heure, il a réintégré le domicile conjugal et fume une dernière cigarette avant de s’endormir. Sa femme sort de la salle de bains avec des bigoudis dans les cheveux, s’installe dans le lit en faisant grincer les ressorts du sommier et commence à manger des gâteaux en mastiquant bruyamment. C’est alors que, sans prévenir, il sent son sexe entrer en érection. Une érection formidable, la plus belle de sa vie…

Dégoûté, il soulève le drap et s’adresse à son sexe :
– Pauvre imbécile ! Tu n’as vraiment rien compris ! Je sais maintenant pourquoi on dit : « con comme une bite » !

Désertion horticole

Avant de s’installer pour prendre le petit déjeuner, une femme a posé son ficus en pot sur une chaise, de l’autre côté de la table.
– Enfin, lui dit-elle, ça ne t’étonne pas, toi, que mon mari ait déserté le domicile conjugal sous le prétexte que je passais plus de temps à parler à mes plantes qu’à lui faire la conversation ?

Boomerang conjugal

En quittant le domicile conjugal, avec deux valises à la main, une dame dit à son mari, qui l’a accompagnée, sur le pas de la porte :
– Tu vas peut-être rire un peu moins fort quand tu sauras que, certes, je retourne chez ma mère. Mais comme c’est trop petit, son studio, pour qu’on y vive à deux, elle a décidé de me le laisser et de venir habiter, ici, avec toi.

Agression familiale

Le juge interroge le plaignant :
– Vous affirmez que votre fille vous a lancé une chaise à la tête ?
– Je le jure, monsieur le juge.
– Et que votre femme en a fait autant avec le guéridon ?
– C’est la vérité, monsieur le juge.
– En fin de compte, vous avez quitté le domicile conjugal ?
– Oui, monsieur le juge.
– Et pourquoi ?
– C’est quand j’ai vu que ma belle-mère se dirigeait vers le buffet…

Planté à l’embauche

Un fakir au chômage rentre penaud au domicile conjugal. Sa femme lui ouvre la porte et l’interroge :
– Alors, et cet emploi ?

Et le fakir de répondre :
– Tu sais ce qu’on m’a dit : « Des clous ! »