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La blague du discours en Chine

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Emmanuel Macron fait un discours en Chine. Cela fait deux heures qu’il parle pour ne rien dire. Il s’exprime en français et un traducteur est chargé de traduire le speech en chinois.

Lorsque Macron en a terminé, il va voir son conseiller aux relations avec la Chine pour lui demander pourquoi le traducteur n’a pris la parole que 3 fois pendant son discours de 20 pages. Macron lui dit :
– Le chinois est une langue merveilleuse d’efficacité et de concision si j’en crois la traduction faite par ce chinois !

Et le conseiller de Macron lui répond :
– Pas vraiment. Le traducteur a bien parlé trois fois mais c’était pour dire : « Conneries … Encore des conneries … fin des conneries »

De Villiers et la pornographie

C’est De Villiers qui fait son discours dans une petite ville de Vendée. Le thème de la harangue, c’est la prolifération des vidéos pornographiques.

De Villiers dit :
– J’ai visionné une de ces vidéos et j’ai vraiment été choqué ! J’ai compté 5 fellations, trois sodomies dont une réalisée entre hommes, un transsexuel faisant l’acte sexuel avec un chien et une femme tentant de satisfaire 20 hommes en même temps ! Si vous m’élisez président, ce genre de vidéos ne viendra plus pervertir l’âme de ceux qui les regardent.

Et comme c’était une soirée-débat, il termine en disant :
– Avez-vous des questions ?

Alors tous les hommes de l’assemblée en chœur :
« OÙ EST-CE QU’ON PEUT TROUVER LA VIDEO ? »

Le prix de l’oraison funèbre

Le gendre d’une riche femme d’affaires américaine va demander au pasteur combien il lui prendrait pour prononcer l’oraison funèbre de la défunte.
– Je vous recommande mon discours à 300 dollars, dit le pasteur. Dans dix ans ceux qui l’auront entendu citeront encore, avec émerveillement, les qualités de feue votre belle-mère.
– Non, non, proteste le gendre : 300 dollars, c’est trop cher.
– Alors, prenez mon discours à 150 dollars. Je dirai que c’était une bonne et brave femme.
– Sincèrement, je trouve cela encore trop cher.
– Bon. Je vais vous faire ce discours pour 50 dollars. Seulement, à ce prix-là, ce sera de la vérité.

Le double effet

Ne dites pas :
« Premier acte : le discours du candidat »

Dites :
« Les faits qui secouent le peuple »

Ne dites pas :
« Deuxième acte : le discours du Président »

Dites :
« Les faits qui se coulent »