blague dictateurs
L’infirmerie du Général Alcazar
Le général Alcazar passe ses troupes en revue, il décide d’inspecter l’infirmerie, où 50 de ses soldats sont alités.
– Mes respects mon général !
– Quel est votre problème ?
– Hémorroïdès mon général !
– Quel traitementès ?
– Batonnès cotonnès badigeonnès !
– Quel est votre souhait le plus cher ?
– Servir toute ma vie l’armée du général Alcazar !
Le suivant :
– Mes respects mon général !
– Quel est votre problème ?
– Hémorroïdès mon général !
– Quel traitementès ?
– Batonnès cotonnès badigeonnès !
– Quel est votre souhait le plus cher ?
– Servir toute ma vie l’armée du général Alcazar !
Etc… pour les 49 premiers soldat (la nourriture mexicaine est vraiment très pimentée), arrive le dernier :
– Mes respects mon général !
– Quel est votre problème ?
– Anginès mon général !
– Quel traitementès ?
– Cotonnès batonnès badigonnès !
– Quel est votre souhait le plus cher ?
– Pourrait-on changer le cotonnès ?
Commerce extérieur
Le dictateur d’un état d’Asie du Sud-Est réunit les membres de son gouvernement.
– Il faut absolument, dit-il, montrer au monde entier que notre vocation est de faire du commerce.
– Oui, mais comment ?
– D’abord, nous allons remplacer les trois bandes bleu, jaune et rouge de notre drapeau par un code-barres.
Castro encastré
Deux Cubains se promènent dans les rues de La Havane.
– Quelle bel après-midi, Dieu soit loué pour nous offrir ce climat paradisiaque !
– Tu dis Dieu ? Tu devrais plutôt remercier Castro.
– Castro ? Mais enfin, c’est Dieu qui a fait pousser ces si jolies fleurs, pas Castro !
– Moi je préférerais remercier Castro, fait mine de se vexer l’autre.
– Tu n’es qu’un crétin, c’est Dieu qui a créé tout ce qui t’entoure, et toi tu ne penses qu’à remercier Castro…
– Eh oui : merci Castro !
Alors l’autre, sur le point de laisser tomber devant cet homme buté :
– Et alors, qui vas-tu remercier quand Castro sera mort ?
– ben… Dieu !
Pinotchoum
Un horrible dictateur passe ses troupes en revue. Tout à coup, il entend quelqu’un éternuer.
– Qui a éternué ? Demande-t-il.
Silence général.
– Je répète : qui a éternué ?
Silence total.
– Bon, tout le premier rang en prison ! Qui a éternué ?
Silence général.
– Les cinq premiers rangs en prison ! Qui a éternué ?
On entend alors une petite voix :
– C’est moi, votre Excellence !
Et le dictateur de dire :
– A vos souhaits !