blague deuxième guerre mondiale

La grosse rigolade

Dans une tranchée allemande, à Stalingrad, un groupe de soldats transis de peur et de froid se recroquevillent sous un épouvantable déluge d’artillerie. Puis les Russes montent à l’assaut et c’est un atroce combat au corps à corps. L’attaque est repoussée, mais une tempête de neige fait brutalement baisser la température déjà polaire et plusieurs soldats meurent gelés. Et l’artillerie recommence à pilonner les tranchées allemandes…

Entre deux tirs, on entend un vieux soldat allemand étouffer un petit rire.
– Qu’est-ce qui se passe, Hans ? demande un camarade. Tes nerfs lâchent ?
– Non, répond le vieux Hans. Mais j’avais plus rigolé comme ça depuis Verdun !

La blague du grand con

Durant l’Occupation, un soldat allemand vient acheter chaque matin son Pariser Zeitung chez le même marchand de journaux. Et, chaque matin, le kiosquier lui répète :
– Tiens, voilà ton journal, grand con.

À la longue, l’Allemand finit par se poser des questions, et demande à un Français, dans la rue, la signification de « grand con ».
– Ça veut dire « grand conquérant », répond le passant.

Le lendemain, le soldat revient acheter son journal, comme à l’accoutumée.
– Tiens, voilà ton journal, grand con ! lui dit le kiosquier.
– Moi pas grand con ! s’exclame alors le soldat. Moi petit con, seulement. Hitler, lui grand grand con !

La blague du moral allemand

Goebbels, chef de la propagande allemande lors de la dernière guerre, cherche désespérément une nouvelle idée pour gonfler le moral des troupes et de la population, lorsqu’on lui parle d’un vétéran servant sur le front de l’Est, ancien de la guerre de 14-18. Le vieux soldat est couvert de médailles, c’est un véritable héros dans son régiment…

Goebbels le fait venir à Berlin et l’emmène à la radio.
– Dites quelques mots au micro pour prouver au monde entier que le moral du peuple allemand est intact, dit Goebbels.

Le vieux soldat regarde le micro sans comprendre.
– Si je parle dans ce machin, on va m’entendre jusqu’en Russie ?
– Jusqu’en Russie et même au-delà ! fait Goebbels avec fierté.
– Jusqu’en Amérique ?
– Et même au-delà !

Alors le vieux soldat empoigne le micro à deux mains et se met à crier :
– À moi ! Au secours !