Devant un petit groupe d’amis, un monsieur critique sa femme. – Elle est pleine de défauts : stupide, dépensière, coquette, gourmande, quant à sa prétendue beauté…
Alors, un amoureux secret de la dame en question s’exclame : – Oh ! monsieur, je vous en prie, si vous n’en voulez plus, n’en dégoûtez pas les autres !
C’est un monsieur qui rentre dans un café et il est très curieux parce qu’il a les deux mains en l’air, vous savez, exactement comme si on lui braquait un canon de revolver dans le dos ; mais en réalité, personne ne le braque, il a les deux mains en l’air comme ça, on ne sait pas pourquoi. Il entre dans le café et il dit : – Bonjour monsieur, je voudrais, heu, je voudrais un café.
Et il a toujours les mains en l’air, comme ça. Alors le patron se dit : « il est bizarre, celui-là, il est bizarre ! »
Il lui sert le café et le gars qui a les mains en l’air lui demande : – Vous pourriez me mettre le sucre dans le café, s’il vous plaît, parce que moi, je ne peux pas, j’ai les mains en l’air… – Oui, bien sûr, monsieur.
Et le patron se dit : « Peut-être bien qu’il a une infirmité ».
Tout à coup l’autre lui demande : – Vous pouvez me le touiller parce que moi je ne peux pas, regardez mes mains… – Oui bien sûr, je vais vous le touiller, monsieur.
Et il se dit : « Mais qu’est-ce qu’il a ? Il doit être malade. »
Puis le gars lui fait : – Vous pouvez me le faire boire, s’il vous plaît, parce que vous savez, moi… – Mais bien sûr, monsieur, je vais.., ne vous dérangez pas.
Alors le patron prend la tasse et fait boire le client qui lui dit : – Je vous remercie. Je voudrais vous demander un autre truc, mais je suis très gêné, j’aurais besoin d’aller aux toilettes, si vous pouviez…
Le patron lui répond : – Oui, oui, mais bien sûr, je vais vous accompagnez, monsieur.
Ils arrivent aux toilettes, et le client : – Ça ne vous dérange pas de me dégrafer mon pantalon, parce que…
Et il a toujours les mains en l’air. Le patron se dit qu’il doit être vraiment handicapé, et il accepte. – Bon, je vous remercie, ça ne vous dérange pas non plus de me… et de m’aider à, enfin, vous me sortez… – Oui, oui ! Mais bien sûr, monsieur.
Le patron se dit : « Il doit être infirme, quoi, c’est ça. ». Il aide le client…ça se passe bien.
Et l’autre dit : – Vous pouvez me refermer ma…
A la fin, le patron n’y tient plus : – Mais qu’est-ce que vous avez à avoir les mains en l’air comme ça, vous êtes malade, c’est une infirmité ?
L’autre répond : – Non, non, pas du tout. Mais moi, toucher ces trucs-là, ça me dégoûte !
C’est le médecin qui regarde ton « affaire » avec mépris, te la touche avec dégoût, et te présente une note d’honoraires comme s’il te l’avait satisfaite.