blague défauts
La blague trop bien pour toi
Deux copains se rencontrent à la cafétéria de leur entreprise :
– Alors, quelles sont les nouvelles ? demande l’un.
– Oh, eh bien, Nadine et moi, on va divorcer.
L’autre est « sur le cul » :
– Vous allez divorcer ? Mais c’est pas possible ! Vous sembliez si heureux l’un avec l’autre !
– Ben oui. Je vais t’expliquer ; depuis notre mariage, Nadine n’a pas cessé de vouloir me faire quitter mes mauvaises habitudes. Elle m’a tout d’abord forcé à arrêter de boire, arrêter de fumer, arrêter les sorties le soir avec les copains… Elle m’a aussi appris à bien me fringuer, à apprécier la peinture, la musique classique et la littérature…
– Je vois, répond l’autre, tu lui en veux de t’avoir fait perdre ta vraie nature. Tu ne t’amuses plus, et tu lui en veux, c’est ça ?
– Non, pas du tout. Ce qu’il y a, c’est qu’elle m’a tellement rendu meilleur qu’avant que maintenant elle n’est plus assez bonne pour moi.
L’aristocrate et le domestique au trois défauts
C’est un aristocrate qui a besoin d’engager un domestique. Il téléphone tout simplement à l’Agence nationale pour l’emploi et on lui recommande un monsieur très bien, Horace. Mais histoire de vérifier ses références, il téléphone à son ancien employeur :
– Je vous téléphone à propos d’un certain Horace qui aurait été à votre service pendant des années…
– Oh oui, il est très bien ! Il est parfait ! Il a juste trois défauts…
– Ah bon, et lesquels ?
– Il a toujours les ongles sales, figurez-vous, ce qui vous l’avouerez est tout de même un peu gênant. Surtout quand on reçoit. Ensuite, il boit, il boit énormément, et même pendant le service ! II boit comme un trou ! Enfin, je dois vous prévenir, ce n’est pas tout: il est… comment dirais-je… il est un petit peu pédé, voyez-vous ! Mais pour le reste, je vous assure, il est vraiment très bien !
Alors notre aristocrate se laisse convaincre et téléphone à Horace pour le convoquer :
– Voilà, sur la recommandation de votre dernier employeur, je vous engage. Seulement voilà, trois petites observations : tous les matins je procéderai à l’inspection de vos ongles : vous me les montrerez pour que je puisse vérifier leur hygiène. S’ils ne sont pas propres, gare à vous !
– C’est entendu, Monsieur… Et après ?
– Deuxième observation, si vous voulez boire un petit coup, vous me demanderez : c’est moi qui garde les clés de la cave. Si vous avez soif vous me le dites, je vous ouvrirai, je vous servirai et puis je refermerai.
– Très bien, Monsieur. Et vous aviez une troisième observation ?
– Non, finalement Horace, pas de troisième observation… Ce sera tout, mon amour !