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Le tact militaire

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Dugenou fait son service dans un régiment d’infanterie. Sa soeur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas encore. Son Colonel l’apprend via la brigade de Gendarmerie et fait appeler l’adjudant de semaine :
– Adjudant Lafleur !
– Vos ordres mon Colonel !
– Oui, dites-moi, Lafleur, la sœur de Dugenou est décédée ce matin. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec tact. Dugenou est un garçon sensible, et vous saurez le ménager.

Lafleur sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement. Une fois devant la compagnie rassemblée, il vocifère :
– Les ceusses dont la sœur est morte, un pas en avant !

Personne ne bouge…
– Dugenou ! Vous m’frez quinze jours de trou pour non-obéissance aux ordres.

Les parieurs fous

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Mac Allister et Mac Farman sont des joueurs invétérés. Ils passent tous les samedis chez les bookmakers à parier sur n’importe quoi. C’est justement Samedi soir, et ils quittent le pub pour rentrer chez eux à pied.

Il y a du brouillard, et manque de chance, une voiture sort de la route et vient faucher le pauvre Mac Allister.

Son camarade se dirige alors vers son domicile pour annoncer la triste nouvelle à sa femme :
– Je suis bien chez madame veuve Mac Allister ?
– Vous êtes bien chez madame Mac Allister mais pas veuve…
– COMBIEN VOUS PARIEZ ?

Dormir comme un bébé

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Un type (qu’on appellera Marcel) se promène en ville quand il aperçoit son vieux copain Gérard, qu’il n’a pas revu depuis des années. Il se précipite vers lui et l’apostrophe :
– Salut Gérard, ça fait une paie ! Qu’est-ce que tu deviens ?
– Salut Marcel. Ben entre autres, je suis marié depuis deux ans.
– Sacré Gérard! Et qu’est-ce que tu fait comme boulot ?
– Je bossais dans une boite d’informatique, mais je me suis fait virer la semaine dernière.
– Aie, sale coup. Et ça va, tu tiens le choc.
– Ouais, je dors comme un bébé.
– Ah, bon… tant mieux ! Faut que j’y aille, là, mais on se revoit bientôt, hein.
– Sans doute.

Deux mois après, Marcel recroise Gérard dans un café et lui offre un verre.
– Alors, toujours sans job ?
– Ouais, toujours.
– Au moins, ça te laisse du temps à passer avec ta femme.
– Elle m’a plaqué avant-hier.
– Ouille, vraiment désolé, vieux.
– Pas de quoi.
– Tu sais, si je peux faire quoi que ce soit pour toi.
– Non, je t’assure, Marcel, je dors toujours comme un bébé.
– Si tu le dis…

Les deux amis se quittent et, un mois plus tard, Marcel invite Gérard à manger chez lui. Au cours du repas, Marcel s’enquiert de la situation de Gérard.
– Toujours sans travail ?
– Tu sais ce que c’est, même les jeunes ne trouvent plus de boulot, aujourd’hui.
– Et tu as des nouvelles de ta femme.
– Elle vient de demander le divorce pour pouvoir se remarier avec mon ex-patron.
– Ah ! (Marcel, très gêné, essaie de changer de sujet) Et tes parents vont bien ?
– Ils sont morts dans un accident d’avion il y a cinq jours.
– C’est pas vrai ! Toutes mes condoléances, mon vieux. Si je peux t’aider à supporter…
– Pas la peine, je te dis que je dors comme un bébé.
– Mais enfin ! Je ne te comprends pas. Il ne t’est arrivé que des trucs affreux en moins de quatre mois et tout ce que tu trouves à dire c’est « Je dors comme un bébé ». Mais comment tu fais ?
– C’est simple : je dors une heure, je pleure une heure, je dors une heure…