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La blague de la cravate présidentielle

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À l’Élysée, le chef du Protocole vient d’apprendre que le Président, Emmanuel Macron, doit recevoir un important chef d’état africain. Et comme de bien entendu, il est chargé de son accueil.

Après avoir enquêté auprès des services diplomatiques, il apprend que le plat préféré de ce chef d’état est la soupe à la tortue géante de mer. Il transmet donc l’information au cuisinier de l’Élysée afin que ce met de choix soit préparé.

Grace aux services secrets, le chef réussit à se procurer quelques exemplaires de ces reptiles chéloniens, pourtant protégés par les conventions internationales…

Quelques heures avant le dîner officiel, le chef du protocole descend en cuisine et voit le cuisinier, armé d’un hachoir, qui essaye, sans y parvenir, à couper la tête des tortues.
– Heu ? Vous faites quoi là mon vieux ? Le dîner, c’est dans moins de 4 heures… faudrait peut-être vous affoler, non ?
– Hé oh !!! Je voudrais bien vous y voir avec cette [CENSURE] de bestiole à la [CENSURE] !!! Chaque fois, que je veux lui couper le coup, elle rentre dans sa coquille !!!
– Poussez-vous et laissez-moi faire…

Le chef du protocole s’approche de la bestiole, s’empare du hachoir qu’il brandit et enfonce énergiquement son majeur dans le cul de la tortue. Gloups ! Fait la tortue en sortant sa tête et là TCHAC ! Son compte est réglé. Et ainsi de suite pour toutes les autres tortues…

Le cuisinier, éberlué, regarde le chef du protocole et lui fait :
– Ben ça alors…. OK pour la technique mais comment vous, un chef du protocole, pouvez-vous connaitre ce genre d’astuce ?
– Oh c’est rien… Vous savez, c’est moi qui, chaque matin, met sa cravate au Président…

La blague de la très mauvaise journée

C’est la réunion mensuelle de l’équipe soignante de l’hôpital.

A l’ordre du jour, l’accusation d’une infirmière envers un médecin : Celui-ci lui aurait parlé de façon vulgaire et insultante. Le directeur dit au médecin. concerné :
« Ce genre de comportement ne peut avoir cours dans mon hôpital. Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ? »

Le médecin répond qu’il regrette ce qui s’est passé, mais il a des circonstances atténuantes :
« Laissez-moi vous expliquer dans quelles circonstances tout ceci s’est passé :

Le matin, mon réveil n’a pas sonné. Quand j’ai vu l’heure qu’il était, j’ai sauté du lit, attrapé mon pied dans le tapis, et je suis tombé la tête la première sur la table de nuit en cassant du même coup la lampe de chevet.

Ensuite, pendant que je me rasais, la sonnette de la porte d’entrée a retenti, du coup, je me suis coupé. C’était un jeune homme qui vendait des encyclopédies. Et je n’ai pas pu le mettre dehors avant d’avoir acheté les volumes A à G.

Quand j’ai voulu reprendre mon petit déjeuner, mon café était froid et mes toasts brûlés.

En allant au garage, j’ai glissé sur une plaque de glace et je me suis déchiré le pantalon et éraflé le genou.

Quand j’ai voulu démarrer la voiture, la batterie était à plat. Ça a pris 45 minutes au réparateur (et 150 euros dans mon porte monnaie) pour me dépanner.

J’aurai du prendre un taxi de toute manière, car en arrivant sur le parking de l’hôpital, le chasse-neige est rentré dans ma voiture. »

Le médecin prend alors une grande respiration et reprend :
« Finalement, j’arrive dans mon bureau et je m’assieds dans mon fauteuil. »

A ce moment là, Madame Waleski l’infirmière arrive et dit :
« Docteur, on vient de livrer 72 thermomètres, Où voulez-vous que je les mette ? »